nano fractale

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mardi 20 octobre 2015

Une chirurgie préhistorique ?


Certains fossiles mis au jour suggèrent que les hommes disposaient, il y a des millénaires, de techniques de guérison perfectionnées.Découvrir des fossiles en bon état reste assez exceptionnel. Les paléontologues sont la plupart du temps obligés de construire leurs théories sur trop peu de fossiles et souvent fragmentaires. De ce fait, tout ce que nous savons de la médecine préhistorique se limite à des traces d’opérations chirurgicales affectant les os.Cependant, ces quelques découvertes sont stupéfiantes et nous obligent à nous interroger.Près du lac Sevan, en Arménie, qui se situe dans une cuvette à 2 000 m d’altitude, des squelettes datant de 2 000 ans avant notre ère, d’un peuple appelé les Khurites, ont été découverts.Dans l’un des crânes d’une femme, un trou d’environ 6 cm ressemble à une ancienne blessure.Les « chirurgiens » de cette époque ont inséré dans ce trou une petite cheville en os d’animal, qui est restée en place.La femme a survécu à cette opération délicate car on peut constater que son os crânien a grandi partiellement autour de cette cheville.

© Werner Forman archives

Sur un autre crâne khurite, une autre blessure provoquée par un coup apparaît. Les chirurgiens ont retiré une partie du crâne autour de la blessure afin d’extraire les esquilles du cerveau. Là encore, l’opération a réussi et le patient a survécu de nombreuses années.Si l’on compare les instruments dont disposaient ces chirurgiens par rapport à notre technologie actuelle, on ne peut qu’en conclure qu’ils étaient largement techniquement supérieurs à nous.Des squelettes venant d’Asie centrale ont été étudiés à l’université d’Ashkhabad. Ces fossiles présentaient des traces d’opération crânienne mais également une opération chirurgicale des côtes.Cette dernière opération a été réalisée à cœur ouvert !Il est très improbable que ces peuples, par ailleurs très peu avancés technologiquement, ont pu développer eux-mêmes ces techniques médicales.Reste à savoir de qui ils tenaient ces connaissances.Nous ne disposons pas de suffisamment de preuves pour affirmer que nos ancêtres ont « côtoyé » des cultures beaucoup plus avancées.On sait que toutes les preuves, fossiles à l’appui, sur lesquelles les scientifiques ont bâti l’arbre généalogique de l’homme tiendraient facilement dans une seule pièce tant ils sont peu nombreux.Toute nouvelle découverte fait vaciller le bel édifice. Il ne reste donc plus qu’à attendre que de nouveaux fossiles nous apportent les preuves indiscutables que les théories officielles ne font pas office de vérité universelle.


Sur un autre crâne khurite, une autre blessure provoquée par un coup apparaît. Les chirurgiens ont retiré une partie du crâne autour de la blessure afin d’extraire les esquilles du cerveau. Là encore, l’opération a réussi et le patient a survécu de nombreuses années.
Si l’on compare les instruments dont disposaient ces chirurgiens par rapport à notre technologie actuelle, on ne peut qu’en conclure qu’ils étaient largement techniquement supérieurs à nous.
Des squelettes venant d’Asie centrale ont été étudiés à l’université d’Ashkhabad. Ces fossiles présentaient des traces d’opération crânienne mais également une opération chirurgicale des côtes.

Cette dernière opération a été réalisée à cœur ouvert !

Il est très improbable que ces peuples, par ailleurs très peu avancés technologiquement, ont pu développer eux-mêmes ces techniques médicales.

Reste à savoir de qui ils tenaient ces connaissances.

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