Anomalie, Sibérie et artefact Alien…
Il existe en Sibérie une vallée, appelé la vallée de la mort.
Dans cette vallée d’étranges objets de très grandes tailles existent
depuis très longtemps des rumeurs ont toujours existé sur ces objets à
demi enterré. Beaucoup dise que ces structures seraient d’origine
extraterrestre et dernièrement une équipe de chercheur s’est rendu sur
les lieux.
Cette région est assez éloignée de tout, elle se situe au sud de la toundra arctique. Cette région d’une centaine de kilomètre carré n’a que très peu d’habitant.
Les premiers témoignages datent de 1853, une personne âgée aurait à cette époque découvert un objet en partie ensevelie fait de métal et qui aurait plus ou moins la forme d’un chaudron.
Dans les années trente plusieurs témoignages parlent de ces objets ayant des rebords très tranchant.
Ce n’est que dans les années quatre-vingt dix que l’on a commencé à parler d’artefact extraterrestre…
Le métal de ces objets est très dur, impossible de l’entailler, ses bords sont souvent très tranchants, un peu comme des lames de rasoir. Il semble que certaines personnes qui y ont touché se soient retrouvé avec des sortes de brûlure, un peu comme dans le cas d’irradiation.
Certains chercheurs ont analysés l’emplacement de ces artefacts et ont déterminé qu’ils correspondaient à la direction prise pas l’objet est passé à Toungouska. Il reste que cet événement s’est déroulé en 1908 et que des témoignages parlent de ces objets en 1853…
Ce n’est qu’en 2012 qu’une équipe de scientifiques, dirigé par Michale Visok, s’est rendu sur place.
Aujourd’hui la plupart de ces « chaudrons » sont recouvert par de l’eau créant des sortes de mares. A environ un mètre de profondeur on peut avoir le contact avec ces étranges objet.
Les premières analyses effectué ont permis de confirmé que ces objets nous venant de Sibérie sont bel et bien en métal. Le métal est très lisse et sur les bords très tranchant comme les témoins l’ont affirmé. Pour le moment l’équipe de scientifique ne sait pas de quoi il s’agit. Il a été impossible de faire des prélèvements, l’équipe pense donc y retourner avec des scies circulaires avec des lames en diamant. Pour le moment ils n’ont fait de vérifier la véracité de ces histoires qui auraient put simplement n’être que des légendes, de plus ils ont pu trouver l’emplacement exact de ces objets. Maintenant ils comptent revenir sur le site afin d’éclaircir pour de bon cette bien étrange affaire
Cette région est assez éloignée de tout, elle se situe au sud de la toundra arctique. Cette région d’une centaine de kilomètre carré n’a que très peu d’habitant.
Les premiers témoignages datent de 1853, une personne âgée aurait à cette époque découvert un objet en partie ensevelie fait de métal et qui aurait plus ou moins la forme d’un chaudron.
Dans les années trente plusieurs témoignages parlent de ces objets ayant des rebords très tranchant.
Ce n’est que dans les années quatre-vingt dix que l’on a commencé à parler d’artefact extraterrestre…
Le métal de ces objets est très dur, impossible de l’entailler, ses bords sont souvent très tranchants, un peu comme des lames de rasoir. Il semble que certaines personnes qui y ont touché se soient retrouvé avec des sortes de brûlure, un peu comme dans le cas d’irradiation.
Certains chercheurs ont analysés l’emplacement de ces artefacts et ont déterminé qu’ils correspondaient à la direction prise pas l’objet est passé à Toungouska. Il reste que cet événement s’est déroulé en 1908 et que des témoignages parlent de ces objets en 1853…
Ce n’est qu’en 2012 qu’une équipe de scientifiques, dirigé par Michale Visok, s’est rendu sur place.
Aujourd’hui la plupart de ces « chaudrons » sont recouvert par de l’eau créant des sortes de mares. A environ un mètre de profondeur on peut avoir le contact avec ces étranges objet.
Les premières analyses effectué ont permis de confirmé que ces objets nous venant de Sibérie sont bel et bien en métal. Le métal est très lisse et sur les bords très tranchant comme les témoins l’ont affirmé. Pour le moment l’équipe de scientifique ne sait pas de quoi il s’agit. Il a été impossible de faire des prélèvements, l’équipe pense donc y retourner avec des scies circulaires avec des lames en diamant. Pour le moment ils n’ont fait de vérifier la véracité de ces histoires qui auraient put simplement n’être que des légendes, de plus ils ont pu trouver l’emplacement exact de ces objets. Maintenant ils comptent revenir sur le site afin d’éclaircir pour de bon cette bien étrange affaire
Sibérie
Des mineurs exhument un étrange disque de pierre
"OVNI"
DISQUE QUATRE MÈTRES trouvés près de Volgograd RUSSIE - UFOLOGUES
DISENT disque est ALIEN "soucoupe volante" VAISSEAU SPATIAL
Chasseurs d'OVNI ont trouvé un disque de pierre de quatre mètres
croit être les vestiges d'un ancien vaisseau spatial extraterrestre dans
la région de Volgograd de la Russie.
Selon le site en langue russe Volgograd Note, une expédition par le groupe d'ufologie et Crytozoology russe, Kosmopoisk, dirigé par Vadim Chernobrov, découvert le disque dans la crête Medveditskaya, District Zhirnovsky, près de Volgograd sur Septembre 9.
Selon le chercheur UFO Vadim Chernobrov, dans une interview avec Volgograd Note, plusieurs disques similaires ont été trouvé dans la région récemment, une partie seulement environ un mètre de diamètre.
Chernobrov a déclaré que son équipe a trouvé un disque de deux mètres dans Kouzbass, sud-ouest de la Sibérie, et que le disque de quatre mètres est le plus grand trouvé à ce jour.
en restant dans l'optique ovni
une porte
image: http://www.sciences-fictions-histoires.com/medias/images/por-bashyn.jpg
image: http://www.sciences-fictions-histoires.com/medias/images/250px-center-of-asia.jpg
Le monument indiquant l'endroit précis du centre géographique de l'Asie, disposé en Tuva
image: http://www.sciences-fictions-histoires.com/medias/images/russia-por-bazhyn-location.jpg
Vue aérienne du lac Tere-Khol et l'île Por-Bajin. Crédit: Por Bajin Cultural Foundation
Por-Bajin reconstruction seen from the east. Credit: Por Bajin Cultural Foundation
One of the tiles found at Por Bajin. - Tuile d'un style chinois - Credit: Por Bajin Cultural Foundation
Small yards (left) running along Por-Bajin's walls each had a building in the center. A digital reconstruction (right) based on excavations shows that each building could have functioned as a dwelling, perhaps for monks if the site were a monastery. Les petits terrains (à gauche) qui courent le long des murs de Por- Bajin avaient chacun un bâtiment au centre. Une reconstruction numérique (à droite) sur la base de fouilles montre que chaque bâtiment aurait pu fonctionner comme un logement individuel, peut-être pour les moines si le site était un monastère. Credit: Por Bajin Cultural Foundation
En savoir plus sur http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/republique-de-tyva-une-structure-antique-defie-toujours-les-experts.html#TXcSWW86CPq0GkQ2.99
Selon le site en langue russe Volgograd Note, une expédition par le groupe d'ufologie et Crytozoology russe, Kosmopoisk, dirigé par Vadim Chernobrov, découvert le disque dans la crête Medveditskaya, District Zhirnovsky, près de Volgograd sur Septembre 9.
Selon le chercheur UFO Vadim Chernobrov, dans une interview avec Volgograd Note, plusieurs disques similaires ont été trouvé dans la région récemment, une partie seulement environ un mètre de diamètre.
Chernobrov a déclaré que son équipe a trouvé un disque de deux mètres dans Kouzbass, sud-ouest de la Sibérie, et que le disque de quatre mètres est le plus grand trouvé à ce jour.
en restant dans l'optique ovni
une porte
République de Tyva, une structure antique défie toujours les experts
République de Tyva (ou Tuva), une structure antique défie toujours les experts
Por-Bazhyn, Russie (wikipedia.en) - en hiver, le lac est entièrement gelé
Située
tout au sud de la Sibérie Russe et faisant frontière avec la Mongolie,
la République russe de Tuva, ou Tyva contient le centre géographique de
l'Asie. Un monument y a d'ailleurs été implanté pour le signaler. 21ème
état de la fédération russe en taille (sur 89 états), c'est le 77ème en
nombre d'habitants puisque la densité humaine est seulement de 1,81
homme au kilomètre carré...
Le monument indiquant l'endroit précis du centre géographique de l'Asie, disposé en Tuva
L'histoire
de cette contrée se perd dans la nuit des temps mais on sait que
l'Empire Xiongnu avait annexé cette région dans son état (ou sa
confédération, déjà) vers 250 Avant JC. Ce que l'on ne sait pas encore,
c'est l'origine exacte des Xiongnu et leur ethnie ! Leur état était
immense puisqu'il incluait à l'époque toute la Mongolie, une grande
partie de la Chine et une partie de la Sibérie. Notons aussi que les
deux principales religions pratiquées par le peuple tuvan (ou tyvin)
sont le boudhisme tibétain et le shamanisme...
Le point rouge situe la structure dont on parle dans cet article (map wikipedia.en)
proche également du Kirghizistan et de la Khakassie
dont j'ai déjà parlé pour leurs nombreux mystères (mais je n'ai pas
fini de faire état des étrangetés mondiales !), Tuva contient également
son énigme particulière, qui a d'ailleurs été visitée en août 2007 par
le président actuel de la Russie, Vladimir Poutin, accompagné par le
prince Albert II de Monaco.
image: http://www.sciences-fictions-histoires.com/medias/images/empire-ouigour.jpg?fx=r_550_298
C'est
même en fait l'un des sites archéologiques les plus mystérieux de la
Russie - de nombreuses ruines enterrées sur une petite île située au
centre d'un lac isolé dans les montagnes. A première vue, cela ressemble
aux ruines d'une très vieille forteresse puisqu'elle est entourée par
de hauts murs (ce qu'il en reste) construits pour empêcher les ennemis
de l'envahir facilement. Cependant, plusieurs scientifiques ont proposé
que cette vieille structure ait été un palais d'été, un monastère, un
mémorial, un centre rituel ou même un observatoire astronomique. Selon
le journal Sibérie Times, plus d'un siècle après sa découverte et
première exploration (1891), les experts ne comprennent toujours pas
réellement quels sont les secrets de ces ruines énigmatiques...
Vue aérienne du lac Tere-Khol et l'île Por-Bajin. Crédit: Por Bajin Cultural Foundation
Même
les objets déterrés depuis des années (et les fouilles continuent
chaque été) n'ont pas donné une certitude absolue bien qu'une date de
construction a bien dû être donnée pour partir d'une base : la structure
aurait été érigée autour de l'année 757 après JC, probablement par la civilisation de Uyghur Khaganate qui
dominait de vastes régions à cette période. Mais les datations précises
sont difficiles car il semble bien que l'endroit ait été peu visité et
peu utilisé quotidiennement et longtemps : il y a peu de traces humaines et d'objets (ou ils ont été pillés il y a longtemps).
Le site archéologique est dénommé Por Bajin (également orthographié Por-Bazhyn), ce qui signifie «maison d'argile», ou même plus précisément "Maison de faïence"). Il est situé sur une île au milieu du lac Tere-Khol à Tuva, en Sibérie, à seulement 20 miles (32 km) de la frontière mongole. La première exploration a eu lieu en 1891, le site n'a pas été excavé avant 1957-1963. Cependant, ce n'est qu'en 2007-2008 que la première recherche à grande échelle a été entreprise, réalisée par la Fondation culturelle de Por Bajin.
Inside the complex of Por Bajin. Credit: Por Bajin Cultural Foundation
Ce qu'ils ont découvert présente une énigme - la structure se trouve dans un
endroit très isolé, à la périphérie de ce qui était l'empire nomade
ouïgour, construit avec des caractéristiques chinoises, mais sans aucun
signe d'habitation permanente, et abandonné après seulement une courte
période d'utilisation. L'ancien complexe a des murs
extérieurs qui s'élèvent encore à 40 pieds (12 mètres) de hauteur et des
murs intérieurs de 3-5 pieds (1 à 1,5 mètres), dont certains sont
encore couverts avec de la chaux peinte avec des bandes rouges
horizontales. Un porte principale a été découverte, s'ouvrant sur deux cours successives reliées par une autre porte. Les murs entourent une superficie d'environ sept hectares contenant les restes de plus de 30 bâtiments, mais avec une structure centrale en deux parties reliées par une passerelle couverte, qui avait auparavant un toit de tuiles et qui a été soutenu par 36 colonnes en bois reposant sur des socles en pierre. La cartographie au laser du site avant la première excavation majeure de 2007 a aidé les experts à construire un modèle 3D de ce à quoi le complexe aurait pu ressembler.
Por-Bajin reconstruction seen from the east. Credit: Por Bajin Cultural Foundation
Seul
un petit nombre d'objets a pu être récupéré à partir du site - si il
avait été habité en permanence, on s'attendrait à trouver un plus grand
nombre d'articles. Il n'y avait également aucune preuve de tout
type de système de chauffage, ce qui aurait rendu impossible de pouvoir
rester là, à 2.300 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans les
conditions hivernales. Les principales découvertes comprennent des tablettes d'argile comportant des empreintes de pieds nus humains, des dessins colorés fanés, des fragments de bois brûlé, des tuiles, un poignard en fer, un calice en pierre, une boucle d'oreille en argent, et des scories/clous de construction de fer.
Aucun des artefacts ne fournit une réponse définitive quant à la raison
pour laquelle la structure a été construite, et comment elle a été
utilisée.
Pourquoi
a-t-il été construit ? Comment était-il utilisé ? Et pourquoi a-t-il
été abandonné ? Telles sont les questions qui fascinent et frustrent à
la fois les experts depuis sa découverte.
One of the tiles found at Por Bajin. - Tuile d'un style chinois - Credit: Por Bajin Cultural Foundation
Depuis la fin du 19ème siècle et sa découverte, Por-Bajin a été lié à l'empire nomade ouïghoure Khagant (744-840 AD),
composé de peuplades turcophones nomades maintenues ensemble par des
forces de guerriers à cheval. L'empire s'est étendu sur la Mongolie et
la Sibérie méridionale, cependant, l'emplacement de Por Bajin était
encore bien loin des habitations et des routes commerciales. Pourquoi
auraient-ils construit dans un tel endroit éloigné ? Serait-ce le site
d'un palais ou d'un mémorial pour un dirigeant ? Sa disposition unique,
plus décorée que les autres forteresses ouïghours de la période, a
conduit certains chercheurs à suggérer qu'elle pourrait avoir eu un rôle
rituel. Pourtant, il y a quelques autres fonctionnalités déroutantes. L'architecture
reflète un style chinois distinct, comme en témoigne l'utilisation de
matériaux de construction chinois, tels que certains types de tuiles, et
l'utilisation de méthodes de construction chinoises. La disposition, avec sa planification axiale, un bâtiment central dominant, et les quartiers résidentiels, est compatible
avec des styles vus dans d'autres monastères bouddhistes. Mais
Por-Bajin ne montre aucune preuve de pratique religieuse.
Small yards (left) running along Por-Bajin's walls each had a building in the center. A digital reconstruction (right) based on excavations shows that each building could have functioned as a dwelling, perhaps for monks if the site were a monastery. Les petits terrains (à gauche) qui courent le long des murs de Por- Bajin avaient chacun un bâtiment au centre. Une reconstruction numérique (à droite) sur la base de fouilles montre que chaque bâtiment aurait pu fonctionner comme un logement individuel, peut-être pour les moines si le site était un monastère. Credit: Por Bajin Cultural Foundation
Non seulement Por Bajin présente un mystère quant à son objectif, mais des preuves archéologiques récentes suggèrent qu'il a été abandonné après seulement une courte période d'utilisation.
Aucune preuve n'a été trouvée pouvant démontrer que le complexe ait été
attaqué par une force d'opposition. Les changements politiques dans la
région peuvent offrir une explication possible, mais rien de concret n'a
été présenté à l'appui de cette théorie.
Apotropaic roof tile in Chinese style -
Il est possible, selon Dmitriy Subetto,
du ministère de la Géographie physique RGPU, que la structure ait été
abandonnée avant la fin de sa construction, en raison du manque de
familiarité des constructeurs avec le pergélisol (le permafrost
sibérien).
L'excavation du site continue affirme le superviseur Tigran Mkrtich
qui indique que la structure a été construite autour de 757 AD. Parmi
les objets trouvés il y a tout de même des tablettes d'argile portant
non pas des empreintes de mains comme souvent, mais des empreintes de
pieds humains, et des dessins colorés sur le plâtre du palais.
Pour l'instant, Por Bajin demeure l'un des mystères persistants de la Russie.
Sources : Who built this Siberian summer palace… and why? By Derek Lambie. Siberian Times.
Por Bajin: An Enigmatic Site of the Uighurs in Southern Siberia (2011) – Arzhanstseva et al. The European Archaeologist, 35.
Letter from Siberia: Fortress of Solitude by Heinrich Harke. Archaeology magazine, Vol 63 (6).
En savoir plus sur http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/republique-de-tyva-une-structure-antique-defie-toujours-les-experts.html#TXcSWW86CPq0GkQ2.99
Une étrange grotte dans le Caucase Russe
Il n'y a pas si longtemps, dans les montagnes de Kabardino-Balkarie, dans la vallée de Baksan,
a été découverte une grotte étrange. Pendant une courte période, des
amateurs comme des spécialistes du monde entier sont venus étudier la
cavité. Il s'est avéré que c'est une immense grotte, de plus de
70 à 80 mètres de profondeur, dont les parois sont faites de mégalithes
parfaitement taillés ! Les photos et vidéos sont parfaitement
cohérentes avec cette affirmation et cet article est la compilation de
plusieurs petits articles ou brèves publiées dans la presse russe et
certains sites, un point ayant été fait en 2012 (voir en bas les liens
des sources).
" La première chose qui attire votre attention - les murs de la mine sont clairement artificiels, dit Vadim Chernobrov, coordinateur de l'association "Kosmopoisk".
Ils sont faits de blocs de pierre lisse, soigneusement polis comme les
blocs des pyramides des égyptiens et d'environ la même taille. Il est facile de calculer que chaque " Pierre " pèse environ 200 tonnes.
Et comme il est impossible de poser naturellement une telle
construction, il est clair que cela a été fait par l'homme, je n'en
doute pas. "
Notons aussi que certains chercheurs ont
mentionné la possibilité d'une ancienne base "Atlante" abandonnée ou
même d'extra-terrestres, d'ovni, et aussi d'annunakis ou de dieux
védiques de l'Inde antique... aucune explication n'ayant été trouvée
jusqu'à présent au sujet de cette mystérieuse structure souterraine, les
spéculations sont larges (mais rarement fondées) pour tous ceux qui
n'ont pas l'esprit très étroit !
En savoir plus sur http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/une-etrange-grotte-ou-mine-dans-le-caucase-russe.html#6Xyl7gJFsdVEj84L.99
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Arkaïm
est un site archéologique situé dans la steppe au sud de l'Oural, 8,2
km au nord-nord-ouest d'Amourski, et à 2,3 km au sud-sud-est
d'Alexandronvski, deux villages de l'oblast de Tcheliabinsk, Russie,
juste au nord de la frontière du Kazakhstan.
Le
site est généralement daté du XVIIe siècle av. J.-C.. D'autres
datations, remontant jusqu'auXXe siècle av. J.-C., ont été proposées. Il
s'agissait d'une implantation de la culture Sintachta.
Découverte et fouilles
Le
site est découvert en 1987 par une équipe de scientifiques de
Tcheliabinsk menée par Guennadi Zdanovitch qui préparaient la zone qui
devait être inondée pour créer un plan d'eau derrière un barrage. Au
début, leurs découvertes ont été ignorées par les autorités soviétiques,
qui avaient planifié d'inonder le site comme Sarkel (en) auparavant,
mais l'attention soulevée par les rumeurs au sujet de la découverte a
obligé le gouvernement soviétique à revoir ses plans en ce qui
concernait l'inondation de la région. L'endroit a été désigné réserve
culturelle en 1991
Implantation
Bien
que le site ait été incendié et abandonné, beaucoup de détails sont
visibles et bien conservés. Arkaïm est similaire dans la forme mais bien
mieux préservé que sa voisine Sintachta (en), où le premier char a été
déterré. Le site était protégé par deux parois circulaires. Il y avait
une place centrale, entourée de deux cercles de logements séparés par
une rue. Le site couvre environ20 000 m2. Le diamètre du mur d'enceinte
était de 160 m. Il a été construit à partir de la terre tassée dans des cadres
en bois, et renforcé par des briques d'argile non brûlées, avec une
épaisseur de 4-5 m. et une hauteur de 5,5 m. L'ensemble des lieux est
entouré d'un fossé de 2 m de profondeur
Il
y a quatre entrées différentes perçant la paroi extérieure et
intérieure avec une entrée principale à l'ouest. Les habitations
disposaient d'une surface de 110-180 m². L'anneau extérieur comprend 39
ou 40 logements, avec des ouvertures donnant sur une rue circulaire qui
fait le tour des lieux. L'anneau intérieur comprend 27 logements,
disposés le long de la paroi interne, avec des portes ouvrant sur la
place centrale carrée de 25 par 27 m. La rue centrale est drainée par un
canal couvert. Zdanovitch estime qu'environ 1 500 à 2 500 personnes
pourraient avoir vécu dans la colonie.
À
proximité des murs d'Arkaïm, étaient des terres arables, 130-140 m par
45 m (430 à 460 m par 150 m), irriguées par un réseau de canaux et de
fossés. Des vestiges de graines de millet et d'orge ont été trouvés.
La
date du XVIIe siècle av. J.-C. suggère que l'établissement de cette
colonie était contemporain, ou bien a suivi de peu, la migration
indo-aryenne en Asie du Sud et en Mésopotamie (la culture
Gandharafigurant dans le nord du Pakistan à partir de 1600 av. J.-C.,
les dirigeants Indo-Européens Mitanni atteignant l'Anatolie 1500 ans av.
J.-C., les deux étant à peu près distantes de 3 000 km de la zone du
Sintachta-Petrovka), et que c'était soit les débuts d'une culture
iranienne, ou bien encore une branche indo-iranienne inconnue qui n'a
pas survécu à son histoire
La mystérieuse cité d'Arkaïm
Depuis
sa découverte, Arkaïm a éveillé l'attention d'une large portion du
public et des médias en Russie, y compris des organisations esotériques,
New Age et pseudoscientifiques. On a pu dire qu'il s'agissait du plus
énigmatique des sites archéologiques sur tout le territoire russe, et,
comme pour de nombreuses découvertes archéologiques, un certain nombre
d'interprétations contradictoires ont été avancées.
Swastika City
Afin
de faire un peu de publicité au site archéologique, les premiers
investigateurs ont surnommé Arkaïm « Swastika City », « Mandala City »,
et « l'ancienne capitale de la civilisation aryenne des origines, comme
décrite dans l'Avesta et les Védas ». La description se réfère à la
forme en svastika, qui (avec un peu d'imagination) peuvent sembler
similaires à la croix gammée, mais avec des bras arrondis (similaire à
la lauburu) attaché à un anneau central au lieu d'une croix
Observatoire
La
similitude de la latitude, la date et la taille conduit certains
archéoastronomes (Bystrushkin 2003) à comparer Arkaïm avec Stonehenge en
Angleterre. Selon leurs déclarations, l'observatoire néolithique de
Stonehenge permet l'observation de 15 phénomènes astronomiques à partir
de 22 éléments, alors que l'observatoire d'Arkaïm permet l'observation de 18 phénomènes astronomiques à partir de 30 éléments.
La précision des mesures de Stonehenge est estimée à 10 arc-minute à un
degré, alors qu'à Arkaïm il descend à 1 arc-minute. Une telle précision
des observations astronomiques n'a pas été répétée avant la compilation
de l'Almageste environ 2 millénaires plus tard. L'interprétation selon
laquelle Stonehenge ou Arkaïm auraient servi en tant qu'observatoires
n'est pas universellement acceptée.
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