Tout
autour du globe ont émergé des impossibilités d'ordre
métallurgique.
Elles ne sont pas forcément magiques, mais souvent très en avance sur leur temps, quoique quelques-unes de ces découvertes résistent encore et toujours à "l'analyse rationnelle".
Elles ne sont pas forcément magiques, mais souvent très en avance sur leur temps, quoique quelques-unes de ces découvertes résistent encore et toujours à "l'analyse rationnelle".
Sont-elles
le fait d'alchimistes inspirés, d'orfèvres exceptionnels, ou bien
d'une technologie mystérieuse issue d'une connaissance gardée
secrète par des Initiés ???
En
tout cas, cela devrait inciter les préhistoriens à revoir la
chronologie de leurs fameux âges du bronze, du cuivre etc.
- En Egypte :
- De nombreux objets, découverts notamment en 1850 par M. Mariette près du sphinx, font penser à l'usage de la galvanoplastie, car les couches sont parfaitement uniformes, sans traces de soudure ou de travail manuel.
- Au Moyen Orient :
- On a retrouvé des vases en cuivre plaqué argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C.
A noter que les tubes en cuivre des piles de Bagdad portent une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent.
Vase dédié paVase dédié par Entemena, roi de Lagash, au dieu Ningirsu. Argent et cuivre, 2400 av. J.-C. Découvert à Tello, ancienne cité de Girsu. (Wikipedia)
- En Arménie :
- Le Dr Korioun Meguertchian a mis à jour le plus ancien complexe métallurgique à Medzamor ( quasi similaire à celui rapporté par Erich Von Däniken à El Fuerte en Bolivie ).
On a en effet retrouvé de nombreux objets métalliques dans ce complexe vieux de plus de 5000 ans, où l'on traitait entre autre, le cuivre, le bronze ( 14 variétés! ), le plomb, le zinc, le fer, l'or, l'étain, le manganèse etc. et on y fabriquait également de l'acier, on y a en effet retrouvé une pince semblable à une pince à épiler âgée de 3 000 ans.
- En Inde :
- Le pilier de fer de Delhi : il mesure plus de 7 mètres de haut pour 50 centimètres de diamètre, il pèse près de 6 tonnes et malgré la rigueur du climat ( mousson ), ne s'oxyde jamais !!!
Il porte, gravée, une épitaphe de Kumara Gupta datée de 413, mais était déjà connu comme beaucoup plus ancien.
Malheureusement, aucune étude approfondie n'était possible du fait qu'il était considéré comme un objet sacré...jusqu'au printemps 2002...
Le
18 juillet 2002, les métallurgistes de l'Institut Indien de
Technologie de Kanpur ont annoncé qu'ils avaient percé le mystère !
C'est
une fine couche de "misawite",
un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène qui protège le pilier
de la rouille.
Elle
se serait formée de façon naturelle dans les trois années qui
suivirent l'érection du piler et ce film protecteur aurait poursuivi
sa croissance pour atteindre son épaisseur actuelle de 1/20ème
de millimètre.
Cette protection s'est formée par catalyse grâce à la présence importante de Phosphore. Cette forte concentration étant elle-même le résultat de la fabrication du fer par les anciens indiens qui mélangeaient directement le minerai avec du charbon de bois.
Cette protection s'est formée par catalyse grâce à la présence importante de Phosphore. Cette forte concentration étant elle-même le résultat de la fabrication du fer par les anciens indiens qui mélangeaient directement le minerai avec du charbon de bois.
Rappelons quand même
pour mémoire que les pseudo-rationalistes nous expliquaient que
cette absence de corrosion était due au climat sec de Delhi
( sic !!! ),la mousson épargnerait-elle Delhi ?
Et parce que les croyants hindous le badigeonnaient de graisse
quotidiennement ! ( eh oui ! jusqu'à plus de 7 mètres
de hauteur sans que jamais personne ne les voit ).
Nous
avons donc là, avec ce pilier, un parfait exemple d'une connaissance
perdue... retrouvée...
C'est la Science que l'on aime, celle qui cherche... humblement... car il faut accepter le fait que nous avons encore beaucoup de choses à apprendre des anciens.
C'est la Science que l'on aime, celle qui cherche... humblement... car il faut accepter le fait que nous avons encore beaucoup de choses à apprendre des anciens.
Des nanotubes dans les sabres de Damas
Les
lames de Damas étaient aussi célèbres pour leur tranchant que pour
leurs motifs irisés. (Alexander Dietsch)
Tel Monsieur
Jourdain faisant de la prose sans le savoir, des forgerons de Damas
fabriquaient des nanotubes de
carbone il y a plus de 400 ans, selon une étude publiée dans
Nature. Des chercheurs allemands ont découvert la présence
de ces nanotubes dans un
échantillon prélevé sur un sabre de Damas. Les lames forgées avec
l’acier damas se sont taillées une terrible réputation lors des
premières Croisades, lorsque les Chrétiens ont tâté le tranchant
des sabres des Musulmans.
Pour être plus juste, il faudrait d’ailleurs parler d’un acier indien : les lames damas, dont la tradition remonte au 1er siècle après JC, étaient fabriquées avec un acier importé d’Inde, le wootz, très riche en carbone. La recette du wootz s’est malheureusement perdue au 18ème siècle et les forgerons européens n’ont jamais réussi à obtenir un acier de cette qualité, idéal pour fabriquer des lames résistantes et tranchantes.
L’équipe de Peter Paufler (Université de Dresde) a plongé un échantillon de sabre du 17ème siècle dans l’acide chlorhydrique qui a dissous des nanofils de cémentite (carbure de fer) et révélé la présence de structures que Paufler et ses collègues qualifient de nanotubes de carbone. Ces matériaux sont aujourd’hui très recherchés pour leur rigidité et leur légèreté.
Pour vérifier leurs conclusions, les chercheurs vont maintenant tenter de reproduire l’acier damas et étudier les conditions de formation des nanotubes dans la forge.
Pour être plus juste, il faudrait d’ailleurs parler d’un acier indien : les lames damas, dont la tradition remonte au 1er siècle après JC, étaient fabriquées avec un acier importé d’Inde, le wootz, très riche en carbone. La recette du wootz s’est malheureusement perdue au 18ème siècle et les forgerons européens n’ont jamais réussi à obtenir un acier de cette qualité, idéal pour fabriquer des lames résistantes et tranchantes.
L’équipe de Peter Paufler (Université de Dresde) a plongé un échantillon de sabre du 17ème siècle dans l’acide chlorhydrique qui a dissous des nanofils de cémentite (carbure de fer) et révélé la présence de structures que Paufler et ses collègues qualifient de nanotubes de carbone. Ces matériaux sont aujourd’hui très recherchés pour leur rigidité et leur légèreté.
Pour vérifier leurs conclusions, les chercheurs vont maintenant tenter de reproduire l’acier damas et étudier les conditions de formation des nanotubes dans la forge.
- En Chine :
- Les chinois du IIe siècle ont fabriqué un bronze d'aluminium.
Nous en avons produit industriellement en 1819 !!!
- En Amérique :
- On trouve de nombreux bijoux en or et en platine, notamment des masques.
Ce dernier métal fond à une température de 1770°c. En Europe, nous avons commencé à le travailler entre 1730 et 1752 !
Les découvertes provenant des
civilisations passées remettent en question la théorie du “progrès
du primitif vers le civilisé”. L’examen de l’histoire fait
clairement émerger que les hommes ont toujours été dotés de la
même intelligence et créativité. Les traces et les travaux des
hommes ayant vécu il y a des centaines de milliers d’années ont
une toute autre explication que ce que veulent nous faire croire les
scientifique. Les hommes des temps anciens, avec leur intelligence et
leurs compétences, ont fait des découvertes, ont pourvu à leurs
besoins et ont bâti des civilisations.
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