Un site en Bolivie qui ne cadre pas avec l’archéologie moderne
Un site archéologique en Bolivie nommé Puma Punku, à quelques centaines de mètres à peine du fameux site de Tiahuanaco (ou Tiwanaku) est l’un de ces sites énigmatiques qui pose un sérieux problème à l’archéologie moderne.
En Aymara, langue des Incas, Puma Punku signifie «la porte du Puma». Ce site est moins connu parce que touristiquement moins impressionnant que Tiahuanaco. Toutefois, il est connu pour ses structures de bloc encastrable formant une muraille.
À première vue, les immenses blocs semblent constituer un véritable puzzle et c’est effectivement le cas. Chaque pièce, chaque imbrication, chaque mur et plafond est constitué de pièces différentes défiant la logique. Ceux-ci ont nécessité une mathématique ainsi qu’une planification trop avancée pour l’époque. Nos archéologues avouent qu’ils ont une très grande difficulté à reconstituer le temple et que c’est presque mission impossible sans le plan d’origine.
Par ailleurs, ces pierres sont si finement taillées qu’ils s’emboîtent parfaitement. La reconstitution suivante donne une idée de la complexité des blocs formant l’une des murailles.
De plus, le site est situé à 3,800 mètres au dessus du niveau de la mer, il n’y a donc pas d’arbre qui y pousse et il ni a pas non plus de carrières à proximité. Chaque bloc pèse des tonnes. Où ont-ils pris ses blocs et comment les ont-ils déplacés jusqu’à ce site? Ceci constitue le premier mystère.
Certains de ces blocs font plusieurs dizaines de tonnes et ils sont parfaitement taillés et ciselés comme s’ils avaient été fabriqués avec des outils modernes. Certaines entailles sont parfaites, de même largeur et même profondeur du début à la fin comme s’ils avaient été fait au laser. Comment ont-ils pu atteindre ce degré de précision? Deuxième mystère.
Par ailleurs, le type de pierre utilisé pour fabriquer ces mégalithes est principalement le granite incluant de la diorite qui sont deux proches parents. Cette pierre est très dure, le granite étant la deuxième pierre la plus dure après le diamant. Pour arriver à un tel degré de précision au niveau des coupes et entailles, il aura donc fallu des outils à pointe diamantée. Troisième mystère.
Au niveau de la datation, celle-ci ne semble pas claire. Certains parlent de 17,000 ans, alors que d’autres parlent de 5,000 années. D’une façon ou d’une autre, comment des gens de ces époques auraient pu fabriquer ce site d’une complexité désarmante? Quatrième mystère.
Même avec nos outils d’aujourd’hui, nous aurions une grande difficulté à réaliser ceci. Bien sûr, je n’offre pas de réponse et ce n’est pas mon but. Je crois davantage apporter l’ouverture des consciences au fait qu’il existe autre chose que ce que l’histoire nous raconte en plus de susciter la réflexion. Mon but ici est d’ouvrir les horizons et accueillir le fait que des civilisations aient eu accès à des technologies que, peut-être, nous ne connaissons pas encore. Bien sûr, cela laisse place à la spéculation. Ont-ils obtenu une aide étrangère, voire d’un autre monde? D’anciennes légendes Incas parlent de la possibilité qu’ils avaient de fondre et mouler la pierre pour lui donner la forme désirée. Cette information concorderait avec certains murs de temple en pierre parfaitement imbriqués
comme celui du temple de Saqusayhuaman au Pérou.
Elle est composée de trois remparts parallèles longs de 600 m, disposés en zigzag, lesquels sont constitués de blocs monolithiques, (le plus grand mesure 9 m de haut, 5 m de large et 4 m d'épaisseur, pour un poids d'environ 350 tonnes) parfaitement assemblés et encastrés les uns dans les autres. Les techniques utilisées pour transporter ces masses restent un mystère. Les enceintes, qui mesurent à peu près 360 m de long, sont reliées par des escaliers et des portes trapézoïdales.
Chose certaine, les Incas étaient parfaitement au courant qu’ils étaient le 4e monde à prendre forme sur cette planète, celle-ci ayant subi trois cataclysmes majeurs qui ont détruit trois fois le monde. Nous en serions à la fin de ce quatrième monde qui ne prendrait pas l’allure catastrophique des trois précédentes destructions, mais plutôt une sorte de saut quantique évolutionnaire… à suivre
source / Daniel Vinet auteur.
le petit dernier
Gobekli Tepe : de plus en plus mystérieux
Gobekli Tepe : de plus en plus mystérieux MAJ 15-10-2014
Göbekli Tepe est un site
archéologique situé dans le sud de la Turquie, près de la ville moderne
d'Urfa. Il contient au moins 20 anneaux de pierre (cercles à l'intérieur
d'un cercle) qui remontent à plus de 11.000 ans (13.000 ans pour le
début des constructions). Des blocs de calcaire en forme de T alignés en
cercles et des gravures en reliefs sont visibles sur eux. Il y a bien
longtemps, des gens ont remplit le cercle extérieur avec des débris afin
de construire un nouveau cercle à l'intérieur.
l y a des blocs de calcaire en forme de T en ligne formant les cercles, et en leur centre se trouvent deux piliers massifs d'environ 18 pieds (5,5 m)
de hauteur. Des statues et des bas-reliefs de personnes et d'animaux
ont été gravés sur ces blocs et les piliers. "Certaines des pierres,
comme les grands piliers, sont plus grandes que Stonehenge ", a déclaré Tristan Carter,
l'un des chercheurs d'obsidienne et un professeur d'anthropologie à
l'Université McMaster à Hamilton, Canada. (les recherches sur le site
sont en cours depuis 1994 et sont dirigées par Klaus Schmidt,
de l'Institut archéologique allemand.) Beaucoup de piliers de pierre en
forme de "T" ont été estimés entre 15 et 20 tonnes (quelques uns plus
de 50 tonnes) nécessitant selon les archéologues au moins 500
travailleurs pour les tailler, les transporter et les ériger.
Les découvertes faites à Göbekli Tepe au cours des deux dernières décennies ont conduit à un large débat. Ted Banning,
un professeur d'anthropologie à l'Université de Toronto, au Canada, a
récemment publié un article dans la revue Current Anthropology en
faisant valoir que les interprétations du site peuvent être diverses. Banning
suggère que les structures en anneaux de pierres peuvent avoir été
couvertes et utilisées comme maisons, et celles comportant de l'art
pourraient avoir servi à la fois comme un espace domestique et aire
religieuse. Il suggère également que les gens de Göbekli Tepe
auraient pu faire pousser des cultures, en démontrant que quelques-uns
des outils de pierre auraient été utiles pour la récolte et que, à un si
ancien point dans l'Histoire, il était difficile de faire la différence
entre les plantes et les animaux sauvages et ceux que les humains ont
essayé de domestiquer (puisque ce sont les mêmes)...
connue
sous le nom Göbekli Tepe Ziyaret. "Ziyaret» signifie «visite», mais
cela est souvent laissé de côté. Certains traduisent «Göbekli Tepe»
comme «Nombril du Monde» car «Gobek" signifie "nombril" ou "ventre" et
"Tepe» signifie «colline».
source http://www.sciences-fictions-histoires.com
L'Osiréion est un temple dans la ville égyptienne antique d'Abydos.
Les
archéologues affirment que le temple a été construit environ en même
temps que le Temple de Seti et l'Osiréion est considéré comme en faisant
partie, malgré le fait que ses fondations reposent plusieurs mètres
sous le niveau du sable et et sous le niveau des fondations du reste de
ce complexe et malgré le fait que le style du bâtiment et les techniques de construction de l'Osiréion sont différents du reste du temple.
Remarquez comment ces pierres monolithiques de 100 tonnes, parfaitement taillées, sont posées sur le dessus d'autres pierres de 100 tonnes avec "rainure et languette" (entouré en rouge).
Les preuves semblent indiquer la possibilité que l'Osiréion soit beaucoup plus ancien qu'on ne le pensait jusqu'alors, de ce fait une question doit être posée : comment ces pierres ont-elles été ABAISSÉES au sommet des autres pierres avant l'invention de la poulie ? L'existence même de ce temple nous invite à considérer l'existence d'une civilisation bien plus ancienne possédant une technologie beaucoup plus avancée que nous le pensions jusqu'à maintenant.
Un autre fait incroyable à retenir sur ce site, c'est que l'on retrouve gravé sur l'un de piliers en pierre massive le symbole de la Fleur de Vie (Flower of Life), d'une manière qu'aucun archéologue ne peut expliquer. C'est comme si l'image fut brûlée au laser dans la roche, modifiant ainsi sa structure atomique.
Il y existe beaucoup de mystères sur les origines de la culture humaine partout dans le monde, mais l'Osiréion est parmi les plus mystérieux.
Remarquez comment ces pierres monolithiques de 100 tonnes, parfaitement taillées, sont posées sur le dessus d'autres pierres de 100 tonnes avec "rainure et languette" (entouré en rouge).
Les preuves semblent indiquer la possibilité que l'Osiréion soit beaucoup plus ancien qu'on ne le pensait jusqu'alors, de ce fait une question doit être posée : comment ces pierres ont-elles été ABAISSÉES au sommet des autres pierres avant l'invention de la poulie ? L'existence même de ce temple nous invite à considérer l'existence d'une civilisation bien plus ancienne possédant une technologie beaucoup plus avancée que nous le pensions jusqu'à maintenant.
Un autre fait incroyable à retenir sur ce site, c'est que l'on retrouve gravé sur l'un de piliers en pierre massive le symbole de la Fleur de Vie (Flower of Life), d'une manière qu'aucun archéologue ne peut expliquer. C'est comme si l'image fut brûlée au laser dans la roche, modifiant ainsi sa structure atomique.
Il y existe beaucoup de mystères sur les origines de la culture humaine partout dans le monde, mais l'Osiréion est parmi les plus mystérieux.
Un troisième bloc monolithe découvert à Baalbek au Liban
Un article de May Makarem dans l’Orient-Le Jour
revient sur cette dernière découverte effectuée par Janine Abdel Massih
et son équipe de l’Université Libanaise et de l'Institut français du
Proche-Orient sur la colline Cheikh Abdallah, à 800 mètres des ruines
romaines située sur le site de Baalbek (anciennement Héliopolis) au
Liban. Les fouilles ont livré un monolithe de 19,6 mètres de long, six
mètres de large et 5,5 mètres d’épaisseur. « Jusque-là. Car nous n'avons
pas encore atteint le fond du roc pour le dégager entièrement », a
déclaré Jamine Massih au quotidien francophone libanais.
Le
mégalithe a été trouvé légèrement en contre-bas de celui connu sous le
nom de Hajar al-Hibla ou « la Pierre de la femme enceinte » (21,50 m de
long, 4 m de large et 4,20 m de hauteur) - probablement la plus lourde
pierre travaillée du monde, son poids est estimé à 1 000 tonnes. Un
deuxième bloc avait été mis au jour dans les années quatre-vingt-dix.
[...]
Photos (© OLJ) :
De nombreuses études archéologiques et historiques soutiennent une thèse très controversée concernant l’existence d’une ou plusieurs civilisations avancées aujourd’hui disparues. Cette vision va à l’encontre de ce qui est généralement tenu pour acquis (ce qu’on enseigne à l’école).
Ces études suggèrent, par exemple, qu’une civilisation autant ou plus avancée que la notre ait pu exister à une époque où l’homme était censé tailler des silex (et pas des blocs de 800 tonnes).
NOTE
Photos (© OLJ) :
De nombreuses études archéologiques et historiques soutiennent une thèse très controversée concernant l’existence d’une ou plusieurs civilisations avancées aujourd’hui disparues. Cette vision va à l’encontre de ce qui est généralement tenu pour acquis (ce qu’on enseigne à l’école).
Ces études suggèrent, par exemple, qu’une civilisation autant ou plus avancée que la notre ait pu exister à une époque où l’homme était censé tailler des silex (et pas des blocs de 800 tonnes).
NOTE
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