Atlantide IIII : les énigmatiques expéditions soviétiques des années 70 autre
Dans le courant des années 1977-1981, de nouvelles insolites concernant certains fonds de l'océan Atlantique défrayèrent la presse moscovite.
Les journaux annoncèrent la découverte de vestiges d'anciennes
constructions sur les pentes supérieures d'une montagne sous-marine
située à environ 400 km au large des côtes portugaises sur l'élévation
du banc Ampère, un important mont sous-marin découvert par des
chercheurs français. Il s'agissait d'un banc dont le sommet, de faible
dimensions, se trouvait à seulement 60 m au-dessous du niveau de
l'océan.
Il fut découvert le 4 mars 1935 par Jean Danton, ingénieur du service des câbles sous-marins, par 35° 34' latitude nord et 12° 54' longitude est. Ledit banc se trouve dans une région de fonds particulièrement tourmentés comprenant le socle des îles Madère, Déserta et Porto Santo, les bancs de la Seyne (-148 m), Joséphine (-150 M) et Gorringe (-42 m).
À plusieurs reprises (1976, 1977, et 1979) des expéditions océanographiques soviétiques mirent en évidence des vestiges étranges - vraisemblablement des restes d'anciens murs et de dallages - dans le voisinage du mont Ampère, situé à quelque 400 km au sud-ouest de Lisbonne.
En 1976, à 80 m de profondeur, le plongeur Nicolaï Reznikov reconnut sur un haut-fond des traces de maçonnerie et des dalles taillées, apparemment ultimes restes de constructions en ruines.
Dans le courant de 1977, Vladimir Marakuyev, un océanologue soviétique, naviguait sur le bateau de recherche Moskowsky Universitet, une caméra sous-marine fut employée au cours d’une recherche de routine. Un groupe de photographies, apparemment inattendues, furent prises alors mais ne furent développées et étudiées que un an plus tard, sans doute à cause d’un surcroît de travail...
L'expédition de l'année 1979 recueillit des données géologiques prouvant que les plateaux supérieurs et le sommet du mont Ampère se trouvait à l'air libre dans un passé récent.
Malheureusement, les Russes ne purent revenir sur les lieux, les autorités portugaises de Funchal (Madère) leur en interdirent l'accès, pour des raisons de sécurité militaire.
Lien complémentaire : La conférence d'Alexandre Gorodnitsky sur les anomalies du mont Anpère
Bibiographie :
Il fut découvert le 4 mars 1935 par Jean Danton, ingénieur du service des câbles sous-marins, par 35° 34' latitude nord et 12° 54' longitude est. Ledit banc se trouve dans une région de fonds particulièrement tourmentés comprenant le socle des îles Madère, Déserta et Porto Santo, les bancs de la Seyne (-148 m), Joséphine (-150 M) et Gorringe (-42 m).
À plusieurs reprises (1976, 1977, et 1979) des expéditions océanographiques soviétiques mirent en évidence des vestiges étranges - vraisemblablement des restes d'anciens murs et de dallages - dans le voisinage du mont Ampère, situé à quelque 400 km au sud-ouest de Lisbonne.
En 1976, à 80 m de profondeur, le plongeur Nicolaï Reznikov reconnut sur un haut-fond des traces de maçonnerie et des dalles taillées, apparemment ultimes restes de constructions en ruines.
Dans le courant de 1977, Vladimir Marakuyev, un océanologue soviétique, naviguait sur le bateau de recherche Moskowsky Universitet, une caméra sous-marine fut employée au cours d’une recherche de routine. Un groupe de photographies, apparemment inattendues, furent prises alors mais ne furent développées et étudiées que un an plus tard, sans doute à cause d’un surcroît de travail...
Ce
qui apparaissait être un mur et un escalier de pierre fut localisé à
une profondeur de 60 mètres. En fait, il y avait huit pierres dont
quatre étaient carrées et quatre rondes. Elles étaient longues d’un
mètre environ. Une autre photographie montrait trois pierres
régulièrement espacées qui semblaient former une partie d’escalier.
Un
savant soviétique réputé, le Dr Aksyonov, directeur de l’Institut
d’océanographie de l’Académie des Sciences d’URSS, prétendit lors d'une
interview qui se déroula à Moscou et fut publiée le 21 mai 1978 dans le
New York Times, que les photographies n’avaient pas été prises
sérieusement.
Aksyonov
ne prit pas position quant à l’origine atlante des ruines, il n’en
déclara pas moins : « Je crois que les objets qui apparaissent sur les
clichés se trouvaient autrefois à la surface. » Les Soviétiques avaient
tenu à ce que l’endroit exact de ces découvertes soit tenu secrète, en
raison des patrouilles de sous-marins atomiques soviétiques à la
recherche de cache et d’abri en cas de guerre nucléaire.
D’autres
savants, non identifiés par le New York Times, soutinrent que les
structures étaient bien le fait de la main de l’homme et constituaient
de parfaits exemples d’une ancienne maçonnerie.
« L’escalier en pierre, qui est parfaitement distinct, a visiblement
été taillé dans la falaise, Il doit y avoir beaucoup plus de marches que
la photographie ne l’indique. Il y avait probablement une volée de 100
marches minimum sur cette falaise, un escalier dangereux à monter et à
descendre comme sur les pyramides mayas ou aztèques.
Un autre cliché montre une plate-forme en pierre, qui constituait sous
doute un palier menant à un autre escalier, comme dans les pyramides à
paliers. »L'expédition de l'année 1979 recueillit des données géologiques prouvant que les plateaux supérieurs et le sommet du mont Ampère se trouvait à l'air libre dans un passé récent.
Malheureusement, les Russes ne purent revenir sur les lieux, les autorités portugaises de Funchal (Madère) leur en interdirent l'accès, pour des raisons de sécurité militaire.
Lien complémentaire : La conférence d'Alexandre Gorodnitsky sur les anomalies du mont Anpère
Bibiographie :
- Pierre CARNAC, L'Atlantide, autopsie d'un mythe. Éditions du Rocher, 2001 pp.76-77
- John, D. Singer : « La filière égyptienne aux sources de l'Atlantide de Platon », in Khadath n°62, pp. 43-44.
- « Soviet Scientist Says Ocean Site May Be Atlantis, etc... », (CRAIG R. WHITNEY), The New York Times, May 21, 1979.
- source
http://www.inmysteriam.fr
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