nano fractale

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lundi 30 novembre 2015

cop21 photo du monde

photographies alarmantes qui illustrent la dégradation de notre belle planète


Les effets du réchauffement climatique et des activités polluantes de l’Homme sont de plus en plus inquiétants. Pourtant, malgré ces dommages environnementaux irrémédiables, beaucoup de gens refusent d’ouvrir les yeux. Le site « Population Speak Out » a donc décidé de montrer la dure réalité qui se cache derrière ces tragédies écologiques. Ainsi, ils ont regroupé des photographies incroyables et bouleversantes dans un livre disponible gratuitement sur Internet et qui va sans aucun doute vous faire réfléchir sur le sort de la Terre.

99 % de la forêt nationale Willamette en Oregon est déboisée
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Un paysage plein de détritus au Bangladesh
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La plus grande pelle du monde qui extrait du charbon de la mine Tagebau Hambach en Allemagne
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Nos déchets électroniques finissent généralement dans des pays du Tiers Monde. Ici, des ordinateurs qui viennent polluer à Accra au Ghana


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La zone de Tar-Rich au Canada, détruite par l’exploitation minière et par les déchets toxiques
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Une énorme fonte d’iceberg près d’une île du Svalbard en Norvège




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La forêt indonésienne transformée en plantation de palmiers


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Les champs de pétrole de Kern River, en Californie, exploités depuis 1899





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Un paysage recouvert de serres à Almeria en Espagne
serres-champ-paysage



Une vague pleine de détritus sur l’île la plus peuplée du monde, Java en Indonésie
surf-pollution-eau

Il y a 20 millions d’habitants dans la ville de Mexico
surpopulation

Grâce à ces photos, on prend pleinement conscience des effets dévastateurs causés par notre mode de vie sur l’ensemble du monde. On espère que le livre « Surdéveloppement, surpopulation, excès », illustrant l’état catastrophique de notre Terre, en fera réfléchir plus d’un. Avez-vous conscience de l’impact des actions humaines sur l’environnement ?













samedi 28 novembre 2015

Aşıklı Höyük: un site qui remonte à l'aube de la civilisation

Aşıklı Höyük est un monticule sur les rives de la rivière Melendiz dans le sud de la Turquie. Il se situe non loin du célèbre site de Çatalhöyük.

Daté à environ 7500 avant JC, Çatalhöyük est connu pour être un des plus grands et anciens sites du Néolithique jamais trouvé. Mais Aşıklı Höyük est encore plus ancien, puisqu'il remonte à environ 8000 ans avant JC...


Restes de structures mis au jour et remontant au 8ème millénaire avant JC. Credit Aşıklı Höyük archive.

Bien qu'il soit moins connu et beaucoup plus petit que Çatalhöyük, des fouilles archéologiques à Aşıklı Höyükont ont révélé un riche aperçu de la vie d'une petite ville d'il y a 10000 ans, bien avant les pyramides, les ziggurats, palaces et autres constructions monumentales des anciennes cités les plus expansives de Mésopotamie et d'Egypte.

D'abord étudié par le professeur Ian A. Todd en 1964, des fouilles à grande échelle n'ont pas eu lieu avant 1989 sous Ufuk Esin de l'Université d'Istanbul. Depuis, c'est devenu l'une des plus importantes fouilles archéologiques de la région, et le site fait toujours l'objet d'études et de recherches.

Les découvertes faites à Aşıklı Höyükont comprennent des structures d'habitat en adobe, au moins 400 pièces et aussi 70 tombes sous le sol des maisons.


Un enterrement sous-plancher d'un adulte en position recroquevillée. Credit Aşıklı Höyük archive.

Généralement, les habitations avaient une ou deux pièces avec un foyer et certaines étaient construites en bancs de terre.

Curieusement, les maisons étaient relativement sombres à l'intérieur, car elles étaient construites sans portes ni fenêtres. "Ces maisons n'avaient pas de porte d'entrée" constate Heval Bozbay, qui est membre de l'équipe de recherche à Aşıklı Höyük depuis 2009, "pour entrer dans une maison, il fallait grimper une échelle à l'extérieur et pénétrer par une ouverture dans le toit pour descendre une échelle intérieure. La seule source de lumière était cette ouverture dans le toit, ainsi qu'un ou deux trous dans le mur, bien trop petits pour être appelé fenêtre selon les standards modernes."

Une pierre en obsidienne et d'autres objets en basalte, granite et tuf ont aussi été trouvés.

Situés dans une zone ayant un passé géologique d'activité volcanique, les habitants de cette communauté avaient facilement accès à un approvisionnement riche en matériel volcanique pour produire leurs biens.
L'obsidienne était une ressource de grande valeur, qui, selon les chercheurs, a pu être éventuellement un produit de commerce avec des communautés éloignées en Syrie et à Chypre.

La découverte probablement la plus intéressante se rapporte à une structure en forme de carré qui montre des traces d'un intérieur plâtré peint entièrement en ocre rouge. Les recherches à l'intérieur ont aussi montré que dans chaque coin il y avait une grande pierre sur laquelle était placé un poteau en bois. "Les archéologues qui ont étudié cette structure pensent que c'était probablement utilisé comme lieu cérémoniel; des traces suggèrent qu'une sorte de fluide était versé lors de cérémonies" note Bozbay.

Un temple ou une importante construction communautaire ? Cette question est encore sans réponse...


Le temple ou bâtiment communautaire. Le sol et les murs sont peints en rouge. Différentes couches du bâtiment peuvent être vues en bas à gauche de la photo. Credit Aşıklı Höyük archive.

Aujourd'hui, les visiteurs du site peuvent voir des reconstructions modernes de ces maisons ainsi que la butte où ont eu lieu les fouilles.
Les recherches sur le site continuent et les archéologues espèrent qu'Aşıklı Höyük, comme d'autres sites mieux connus du Néolithique tels que Çatalhöyük et Göbekli Tepe, apporteront de précieux renseignements sur la façon dont vivaient les habitants du Néolithique et comment leurs communautés ont formé les fondations sur lesquelles ont été construites les grandes civilisations qui entourent la Méditerranée.



Source:

Des traces de véhicules ancien


Des traces de véhicules d’anciennes civilisations ? L’étrange découverte d’un géologue



Des traces de véhicules d’anciennes civilisations ? L’étrange découverte d’un géologue
Une controverse d’un genre nouveau a été récemment lancée à propos de traces suggérant des sillons laissés par des véhicules d’un temps ancien, dans la vallée Phrygienne de Turquie.
Le Dr Alexander Koltypin, géologue et directeur scientifique en sciences naturelles à l’International Independent Université de Moscou de l’Écologie et de politologie, affirme sérieusement que ces dernières seraient l’oeuvre d’une  » race inconnue « , et auraient été laissées depuis 12 ou 14 millions d’années.
Après avoir terminé ses recherches sur le site d’Anatolia, le chercheur a relevé d’étranges sillons, décrits au MailOnline comme   » des ornières pétrifiées dans des roches de tuffeaux, effectuées à partir de cendres volcaniques compactées « .
Ces pistes qui serpentent à travers le paysage de la vallée de Phrygie remontent à différentes périodes historiques, d’après les descriptions académiques qui en sont faites. Les premières d’entre elles ont dû être réalisées au cours de l’Empire Hittite ( vers 1600 av.J-C à 1178 ap.J-C ).
Les mystérieuses traces de la vallée phrygienne de Turquie. (Alexander Koltypin/Dopotopa.com)
Le temps passant, ces « chemins » ont été profondément marqués après leur utilisation par les Phrygiens, les Grecs et par les armées d’Alexandre le Grand. D’après Culture Routes, un organisme de tourisme turc, celles ci servaient de réseaux routiers pour les romains.
Alexander Koltypin suggèrent que les pistes ont été creusées par des véhicules. Cependant, l’hypothèse d’attelages, charrettes ou petits chars ne concorde pas avec les observations du scientifique. Au lieu de cela, M.Koltypin pense à des véhicules  » lourds, énormes, antidiluviens et tout-terrains « . Et pour compléter le tableau, provenant d’une civilisation inconnue.
Les géologues affirment que les ornières sont préhistoriques, à en juger par l’altération des roches et les fissures observées. « La méthode permettant de préciser l’âge des roches volcaniques est très bien étudiée et travaillée« , rapporte le scientifique.
Ce dernier note que la distance entre chaque paire de piste reste constante, et que celle ci correspond quasi exactement à l’intervalle entre les roues des véhicules modernes. Cependant, ces pistes sont bien trop profondes pour nos voitures et autres véhicules actuels, ce qui soulève de nouvelles questions.
LIRE AUSSI : 17 découvertes suggérant l’existence de civilisations préhistoriques évoluées
Les ornières sont profondes d’un mètre, et les parois présentes des rayures horizontales, laissées semble t-il par l’extrémité d’essieux de roues anciennes.
L’Express rapporte que les chenaux ont été creusés dans le sol et de la roche humide en raison du poids des gros véhicules préhistoriques.  » Et plus tard, ces ornières, ainsi que les roches se trouvant autour, se sont pétrifiées, conservant intact ces traces ». Un cas souvent rencontré lors de l’analyse d’empreintes de dinosaures, « préservées naturellement, de façon semblable ».
M.Koltypin est conscient que ses preuves sont controversées, mais soutient également que les académiciens ne s’intéresserait jamais à un sujet  » pouvant ruiner toutes leurs théories classiques « .

« Je pense que nous assistons ici aux signes d’une civilisation ayant existée bien avant l’arrivée de notre civilisation. Peut être existait-il des êtres bien éloignés des humains actuels « , expose t-il.
Ruts at Misrah Ghar il-Kbir, Malta. (Maximilian99/CC BY-SA)
Sillons à Misrah il-Kbir, à Malte. (Maximilian99/CC BY-SA)

Des pistes toutes aussi mystérieuses ont été découvertes dans d’autres endroits du monde, notamment dans l’Archipel Maltais. Les rainures observées dans les sillons continuent à être analysées par les scientifiques. Certaines d’entre elles, à Misrah Ghar Il-Kbir se prolongent depuis les falaises jusqu’au fond des océans. Impossible, à ce jour, d’en comprendre l’origine.














vendredi 27 novembre 2015

COP21 suite


COP21: une chaîne humaine à Paris, des défilés dans le monde



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COP 21 : Paris ne veut pas reproduire les erreurs de Copenhague

Paris veut tirer les leçons de l'échec de Copenhague.

Quand, en décembre 2009, le monde converge dans la capitale danoise, on parle de «conférence historique». Il y a des raisons d'espérer : Obama a fait revenir les Etats-Unis dans le jeu climatique, Pékin annoncé de premiers engagements chiffrés... Mais les pourparlers coincent sur la répartition des efforts et sur leur contrôle international. Américains et Chinois s'opposent, tandis que les pays en développement soupçonnent en permanence les "grands" de vouloir imposer leurs vues. L'amertume gagne, la présidence danoise de la COP se déchire, les chefs d'Etat sont appelés à la rescousse au dernier moment.

Finalement, les leaders des grandes économies - USA, Chine, Inde, Brésil, Allemagne, France... - rédigeront un accord a minima de deux pages, que certains pays dénonceront et qui ne sera pas entériné. «Le pire jour de ma vie», se souvient le représentant des Maldives Amjad Abdulla.

quelque info sur le monde 

depuit Septembre 2015 - Conditions météorologiques extrêmes, révolte de la planète et météorites


Peu importe la saison ou le climat « normal », actuellement, les véhicules, les maisons et les gens sont régulièrement emportés par des déluges, dans le monde entier. Oubliez « la pluviométrie moyenne d'un mois tombée en quelques heures » - le mois dernier, la pluviométrie moyenne de DEUX MOIS est tombée en un jour et transforma des parties du sud du Japon en mers intérieures. Aux États-Unis, l'état de l'Utah a connu sa pire crue soudaine jamais enregistrée, et toute la côte Est a été trempée jusque sous 30 cm de pluie. Ce mois-ci, nous avons aussi des extraits vidéos de déluges en Espagne, France, Italie, Grèce, Turquie, Norvège, Thaïlande, Taïwan, Chine, Sierra Leone et Nouvelle-Zélande. 


De violentes éruptions volcaniques au Japon, Mexique, Nicaragua et Indonésie annonçaient un tremblement de terre massif de magnitude 8,3 au large du Chili, qui a par la même occasion envoyé un tsunami de 4,5 m s'écraser sur la côte causant ainsi de lourds dommages. Des grêlons de la taille de ballons de football sont tombés à Naples en Italie. Brisbane, en Australie, a été ensevelie jusque sous 8 cm (4 pouces) de grêle, tandis qu'un gigantesque gouffre ouvert sur une plage voisine a avalé un terrain de camping. Le taux d'observations de météorites continue d'augmenter; en septembre, il y a eu des observations spectaculaires au-dessus de Bangkok et de Los Angeles. 

Les feux de forêt continuent de beaucoup brûler en Californie, qui a vu le mois dernier son « troisième plus grand » feu de brousse de l'histoire alors que des villes entières ont été réduites en cendre et des dizaines de milliers d'habitants ont été contraints de fuir. L'autre série majeure d'incendies de forêt sur la planète en septembre a eu lieu en Indonésie, d'où émanait un manteau de fumé enveloppant une grande partie de l'Asie du Sud pour la deuxième fois en trois ans. L'agriculture sur brûlis est désignée comme coupable, mais les incendies se produisent dans les tourbières qui dégagent beaucoup de méthane, nous portant à nous demander si la principale source de combustible pour ces feux ne serait pas sous terre. 

Des conditions météorologiques extrêmes ont également frappé le Moyen-Orient, qui a été englouti dans une tempête de sable « sans précédent » qui s'est étendue de l'Irak à Chypre et au sud de l'Arabie saoudite. Un événement tragique et incroyablement symbolique a eu lieu au cœur de la « ville sainte » de l'Islam pour le 14e anniversaire des attaques du 11 septembre, quand un orage puissant et inhabituel est descendu sur la Mecque et que les vents ont fait tomber une grande grue de construction appartenant à Ben Laden Construction sur la Grande Mosquée. 111 personnes ont été tuées et des centaines d'autres blessés. 

source

http://www.chaos-controle.com/archives/2015/10/22/32816862.html




 Météo : 5 départements du sud-ouest placés en vigilance crues

Les orages violents ainsi que les fortes pluies qui s'abattent sur la zone depuis mardi pourraient entraîner des inondations et perturber la circulation.


Publié le | Le Point.fr

Le Qatar et l'Arabie saoudite touchés par des inondations sans précédent

En quelques heures, l'équivalent d'un an de pluie est tombé sur le Qatar, provoquant de sérieuses fuites à l'aéroport de Doha et entraînant la fermeture des routes et des écoles. En Arabie saoudite, le déluge a provoqué la mort d'une personne.

 Photo published for Saudi Arabia and Qatar hit by heavy rain and flooding              
        

Photo published for Flooding brings Qatar to near standstill 




Des pluies diluviennes provoquent des inondations en Martinique 

 

Publié







jeudi 26 novembre 2015

effet de serre (( cop 21 ))

Tout savoir sur l'effet de serre


Quelles sont les causes de l’effet de serre ? Pourquoi s’agit-il d’un phénomène naturel ? Quel est le rôle de l’activité humaine dans l’augmentation des gaz à effet de serre et quelles sont les conséquences pour la planète ? Pour tout comprendre de l’effet de serre, plongez dans ce dossier au cœur de l’atmosphère terrestre.

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L’augmentation de l’effet de serre due à l’activité humaine est la principale cause du réchauffement climatique. Pourtant, l'effet de serre n’en reste pas moins un phénomène naturel lié à l’activité de notre planète et de son atmosphère.
Depuis un peu plus d'un siècle, la température moyenne globale de la Terre a augmenté d'environ 0,8 °C. Ce réchauffement climatique est pas continu et, depuis une quinzaine d'années, il semble avoir ralenti. Pourtant les scientifiques spécialistes du climat sont quasi unanimes : il est principalement lié à l'activité humaine favorisant l'augmentation de l'effet de serre.

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Augmentation des gaz à effet de serre, absorption du rayonnement infrarouge, convection atmosphérique ou encore rétroaction : bien des phénomènes façonnent notre planète et son atmosphère. Nous vous proposons de les découvrir pas à pas.
Notre dossier revient d’abord sur l'expression « théorie de l'effet de serre », que l'on voit parfois employée. Il explique également d’où vient l'analogie avec la serre, ses limitations et les conséquences qui en découlent. Ensuite, nous insistons sur les différences entre le comportement du verre et celui de l'atmosphère. Enfin, nous présentons la théorie du transfert radiatif qui permet d'expliquer et de calculer l'effet de serre mais aussi, par exemple, de réaliser des sondages de température depuis satellite.

Quelles sont les principales incertitudes ?


Pour certains, les aérosols notamment ceux soufrés ont compensé le réchauffement dû à l'accroissement de gaz carboniqueIV. Le réchauffement du XXe siècle serait alors largement dû aux autres gaz à effet de serre : si le seul phénomène en jeu était la combustion d'énergies fossiles avec libération de CO2 et d'aérosols, aucun réchauffement n'aurait été constatéV. L'idée d'injecter de grosses quantités d'aérosols dans la haute atmosphère pour faire écran au flux solaire et contrebalancer l'effet de serre n'en apparaît pas moins surréaliste au vu des incertitudes et de la faible durée de vie des aérosols dans l'atmosphère quelques semaines.
Une autre grande incertitude concerne le cycle de l'eau. En premier lieu, un réchauffement climatique dû à un accroissement de l'effet de serre favorise l'évaporation des surfaces marines et continentales. La vapeur formée se re condense rapidement, mais le résultat net est une augmentation de la teneur atmosphérique en vapeur d'eau. Il y a ainsi une interaction forte entre le cycle du carbone et celui de l'eau : le réchauffement induit par une augmentation de la teneur en gaz carbonique est approximativement doublé par l'effet sur la vapeur d'eau.

Mais qui dit augmentation de la teneur en vapeur d'eau dit davantage de nuages. Or, ceux-ci agissent à la fois en réfléchissant le rayonnement solaire incident - ce qui tend à refroidir le sol - et en bloquant les infrarouges émis par la surface terrestre - ce qui renforce le réchauffement. Les choses sont extrêmement complexes : l'effet sur le bilan radiatif dépend même de l'altitude et du type de nuages. Par exemple, les nuages de basse altitude agissent essentiellement par leur pouvoir réfléchissant, alors que ceux de haute altitude ont un pouvoir absorbant relativement plus fort. D'après les mesures satellitaires, il semble que, globalement, les nuages tendent à refroidir le climat.
Cet effet a dû se renforcer depuis le début de l'ère industrielle. Notamment en raison des... aérosols, qui jouent le rôle de noyaux de condensation pour les gouttelettes d'eau, augmentant ainsi la réflexion du rayonnement solaire et la durée de vie des nuages.

Deux autres exemples d'effet paradoxal : une augmentation de la température favorise la fonte de la banquise, ce qui tend à diminuer la fraction réfléchie du flux solaire incident ; elle favorise aussi un accroissement de l'humidité et, du coup, une augmentation du manteau neigeux dans les régions froides.

Ces quelques exemples illustrent l'infinie complexité des processus en jeu et leurs multiples interactions.


Les humains pourraient-ils être responsables des changements climatiques sur les autres planètes du système solaire, ou le soleil en serait-il le grand responsable ?
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Ce qui suit n'enlève en rien de la responsabilité de l'Homme sur le Climat et l'Environnement de notre bonne vieille Terre. L'Homme reste responsable de la pollution toujours plus contaminante dans la faune et la flore de notre planète, et l'Homme reste également responsable d'une partie du réchauffement climatique. Cependant, un autre acteur est en jeu...


Voici quelques titres de grands éditoriaux depuis quelques années :

- Spatial.com : le réchauffement de l’atmosphère de pluton intrigue les scientifiques
Dans ce qui semble n’être qu’un renversement des annonces du mois d’août, les astronomes ont révélé, aujourd'hui, que Pluton subissait un réchauffement de son atmosphère mince, même si cette planète s’éloignait du soleil sur son orbite longue et bizarrement formée.

- Spatial.com : une nouvelle tempête sur Jupiter présage des changements climatiques
Les dernières images pourraient fournir des preuves que Jupiter est au beau milieu de changements globaux qui pourraient modifier les températures par plus de 10 degrés fahrenheit sur différentes parties de cette planète.
 
- Current Science & Technology Center : réchauffement global sur Mars ?
Une étude des calottes glacières sur Mars peut démontrer que la planète rouge éprouve une tendance au réchauffement. Si Mars et la Terre sont en train de subir un réchauffement global, alors il y a peut-être un plus grand phénomène qui est en train de se produire dans le système solaire qui provoque des changements dans leurs climats globaux.

- United Press International : la NASA examine une tempête monstre sur Saturne
La NASA a révélé que son vaisseau spatial Cassini a découvert une tempête ressemblant à un ouragan au pôle sud de Saturne, d’un diamètre de presque 5000 miles, ou l’équivalent de deux tiers du diamètre de la Terre.
 
- Science Agogo: réchauffement global détecté sur Triton
Il ne doit pas y avoir beaucoup de pollution industrielle sur la surface de la plus grosse lune de Neptune, néanmoins, les choses se réchauffent. « Au moins depuis 1989, Triton a subi une période de réchauffement climatique », confirme l'astronome James Elliot, professeur aux Sciences terrestres, atmosphériques et planétaires de l'Institut de technologie du Massachusetts. « Concernant le pourcentage, c'est considéré comme une très forte augmentation ».

- Associated Press : une étude révèle que le soleil se réchauffe
Les radiations solaires qui atteignent la Terre sont 0,036 pour-cent plus chaude qu’en 1986, quand l’actuel cycle solaire commençait, a rapporté un chercheur dans une étude qui doit être publiée ce vendredi dans un journal scientifique. La découverte est basée sur une analyse des satellites qui mesurent la température de la lumière solaire.

 London Télégraph : la vérité sur le réchauffement global 
– le soleil est à blâmer Le réchauffement global a finalement été expliqué : la Terre se réchauffe parce que le soleil produit plus de lumière qu’à n’importe quel moment dans les 1000 dernières années, selon la nouvelle recherche.

La simple réalité est qu’à travers les âges, la Terre s’est balancée allègrement entre des climats chauds, humides et stables, à des climats froids, secs et venteux, bien avant que le premier baril de carburant fossile ne brûle. Les changements que nous observons présentement ne sont qu’une simple promenade dans un parc en comparaison des combats que notre planète a pu endurer dans le passé.
Ceci n’est pas une défense pour les cartels pétroliers ou les destructeurs néo-conservateurs, qui auraient toutes les raisons du monde d’ignorer le réchauffement global, qu’il soit fabriqué par l’homme ou pas.

Ce n’est pas, non plus, un démenti des faits que la terre est, présentement et graduellement, en train de se réchauffer, mais comment pouvons-nous réconcilier le réchauffement global qui est en train de se produire dans les lieux les plus éloignés du système solaire avec l’argumentation qu’il puisse être provoqué par l’activité humaine? Les gaz d’échappements de nos voitures ont-ils réussi à quitter l’atmosphère terrestre et à se glisser dans un trou noir jusqu’à Triton?
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L’affirmation selon laquelle le réchauffement climatique puisse être fabriqué par l’homme est tellement renforcée d’une manière oppressive dans l’opinion populaire, surtout en Occident, que le simple fait d’exprimer le moindre petit doute à ce sujet est semblable à démentir l’holocauste dans certains cas. Le lavage de cerveaux, forgé par l’intermédiaire de la télévision, les journaux et les grands cerveaux de ce monde, est tellement insipide que les sceptiques sur le réchauffement climatique doivent porter une étoile jaune métaphorique et discuter de leurs doutes seulement à voix basse et dans des cadres conciliants ou être dénoncés, harangués et injuriés par une armée de supposés bienfaiteurs qui croient vertueusement secourir notre bonne vieille terre en recyclant une bouteille de vin ou en mettant leurs papiers dans une boîte à déchets séparée.
en recyclant nos produit nous éviterons des pollution  comme celle ci
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mais nous ne réglerons pas le réchauffement qui est global
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Répandant la peur au sujet d’une fin du monde imminente provoquée par le climat pour aussi s’accaparer les couvertures de nouvelles et les problèmes écologiques importants comme la GM food, la chimère maladive du clonage scientifique et l’usurpation ainsi que les abus des sociétés commerciales comme Monsanto passent inaperçus.

Le réchauffement global est mentionné comme une excuse pour mettre en place un contrôle accru sur les populations et une surveillance sur nos vies quotidiennes, ainsi que les « micropuces » RFID sur nos poubelles, le dépistage par GPS, la taxation au mile, de même qu’un impôt global à la station service.

L’aile extrémiste du mouvement écologiste, caractérisé par des gens comme certain scientifique avocat d’une réforme massive de l’humanité via des harcèlements et du bioterrorisme sanctionné par les États, afin de « sauver » la terre de la maladie de l’humanité, est semblable aux mesures de contrôle des populations et de génocides des Nazis ; l’establishment écologique a toujours maintenu une proche alliance avec ce genre d’extrémistes.


La religion organisée du réchauffement global et ses conséquences désastreuses pour notre liberté de parole, notre liberté de mouvement et notre droit de demeurer à l’extérieur du système, doivent être questionnés sur la base fondamentale que le phénomène est dans tout le système solaire et qu’il est principalement provoqué par l’évolution naturelle du soleil et non par les activités humaines.
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vendredi 13 novembre 2015

L’étoile la plus mystérieuse de notre Univers suite

abriterait-elle une civilisation extraterrestre ?




L’étoile la plus mystérieuse de notre Univers abriterait-elle une civilisation extraterrestre ?

Ces derniers jours, le monde de l’astronomie semble en effervescence au sujet d’une étoile qui pourrait abriter des structures extra-terrestres dans sa sphère. Une telle hypothèse n’a pu être sérieusement envisagée par la communauté scientifique qu’après l’élimination de toute explication « naturelle  » aux variations de lumière enregistrées par la sonde Kepler.

L’astre en question a été aperçu dans la constellation boréale du Cygne. KIC 8462852 est un peu plus chaude, jeune et lumineuse que notre Soleil. Elle figure dans un lopin de ciel comprenant 100 000 étoiles, lesquelles sont observées 24h/24 par la sonde Kepler depuis plus de quatre ans.

 » Nous n’avons jamais vu une étoile pareille « , s’interroge Tabetha Boyajian, une chercheuse de Yale.  » C’est vraiment étrange. Nous avons d’abord pensé que les données n’étaient pas correctes, ou qu’il y avait eu des secousses sur l’appareil, mais tout a bien été vérifié « .

La sonde Kepler a été conçue pour établir la luminosité des étoiles avec un très haut degré de précision. Les différentes formes de cette lumière apportent certains renseignements sur les lointaines planètes. Des informations étaient si abondantes qu’elles ne pouvaient être traitées par les seuls scientifiques en charge de Kepler : le protocole Planet Hunters a ainsi été ouvert au public. Celui ci demande aux  » citoyens scientifiques  » d’analyser ces lumières depuis chez eux.

Un comportement unique parmi 150 000 étoiles

Les astres sont toujours en mouvement dans notre univers ; ainsi, les lumières émises sont parfois entrecoupées quand un corps céleste se trouve entre Kepler et les étoiles observées. En 2011, certains « citoyens scientifiques  » ont alerté l’équipe de recherche travaillant sur Kepler à propos du comportement  » intéressant  » et  » bizarre  » d’une étoile. KIC 8462852 a alors commencé à faire parler d’elle.
View larger. | Here is a completely fantastic artist's concept of a Dyson sphere. I like it. Notice the little moon on the left side, being ravaged for raw materials. Via FantasyWallpapers.com
Oeuvre artistique fantaisiste présentant la construction d’une planète artificielle suivant l’idée d’une sphère de Dyson. Ici, l’idée est purement spéculative, Dyson ayant lui même indiqué que la construction d’un solide autour d’une étoile serait irréalisable. ( Adam Burn/UFO Mania / FlickR )

Les lumières captées par Kepler sont entrecoupées, ce qui montre qu’un amas de matière circule sans cesse en formation serrée autour de l’astre. Toute la question est de savoir de quelle nature sont ces matières.

Un tel phénomène est souvent observé lors de la naissance d’une étoile ; il y a 4,5 milliards d’années, notre système solaire était lui aussi entouré d’un amas de matières. Sous l’effet de la gravité, ces poussières et débris ont formé plus tard nos planètes connues. Dans le cas présent, KIC 8462852 n’est pas une jeune étoile. Car les débris présents dans la sphère d’une jeune étoile auraient émis une forte quantité de rayons infra-rouge, qui se seraient mêlés aux lumières observées par Kepler.

On aurait aussi pu croire à la collision de deux planètes situées dans la sphère de l’étoile, ce qui aurait produit là encore de nombreux rayons infra-rouges. Mais la sonde n’enregistre rien de tel.

Plusieurs hypothèses ont alors été formulées : éclats provenant d’une ceinture d’astéroïde, collision d’un corps céleste massif avec KIC 8462852, ou encore le passage d’une étoile accompagnée d’un nuage de comètes dans la sphère de KIC 8462852. Cette dernière hypothèse, soumise par les auteurs d’un article publié sur arXiv, a été la plus crédible.  » L’hypothèse avancée par les chercheurs, c’est qu’il y aurait une famille de comètes autour de l’étoile. Cette idée d’un nuage qui se déformerait ne me choque pas  » a récemment opiné Luc Arnold, de l’observatoire de Haute-Provence, à Ciel & Espace.

Mais là encore, cette seule explication tient difficilement.
Imaginons que Jupiter, la plus grosse planète de notre système solaire, obstrue notre soleil dans l’hypothèse qu’on le regardait depuis un point éloigné de notre galaxie. La variation de lumière enregistrée serait inférieure à 1 %. Mais dans notre cas, les variations enregistrées sur KIC 8462852 sont de 15 à 22 %. De plus, ces obstructions de lumières se sont répétées. Les plus grosses d’entre elles se sont produites à 730 jours d’intervalles, et d’autres obstructions, plus faibles, ont été captées dans leur sillon.
De son côté, Tabetha Boyajian fait état de sa « perplexité ».  » Pour chaque hypothèse soulevée, il y avait toujours un contre-argument « , indique t-elle.
Une civilisation extra terrestre avancée ?
Si de nombreux scientifiques osent imaginer la présence de méga structures d’une technologie avancée, c’est que leur intérêt paraît certain. L’astronome et physicien Freeman J.Dyson avait imaginé en 1960 un certain type de sphère permettant de recueillir l’énergie émise par un astre, en disposant à une certaine distance des structures spécifiques.

As time passed, a civilization might continue to add Dyson rings to the space around its star, creating this form of relatively simple Dyson sphere. Image via Wikipedia.
Exemple d’une sphère de Dyson. Chaque point représente un élément de la structure. (wikimédia)

 » On peut, pourquoi pas, considérer l’hypothèse d’une sphère de Dyson. Il s’agit d’une structure artificielle hypothétique faite pour récupérer l’énergie de l’étoile […]. Souvent les gens ont une image fausse en tête à propos des sphères de Dyson, ils imaginent une structure rigide autour de l’étoile. Mais on peut tout aussi bien imaginer une flottille d’objets en orbite autour de l’étoile, et dont la configuration varie au gré des besoins énergétiques « 
, observe encore Luc Arnold.
Loin des panneaux solaires existants aujourd’hui, de tels capteurs seraient, dans l’idée, capables d’emmagasiner une incroyable quantité d’énergie. Si Dyson lui même avouait avoir été inspiré par un livre de science fiction (Star Maker, d’Olaf Stapledon, publié en 1947), les scientifiques actuels confirment l’idée de cette théorie : une civilisation avancée aurait besoin d’une très grande source d’énergie, et s’orienterait naturellement vers ce type de construction. Si bien que depuis 2013, un groupe de recherche a été mis en place pour la recherche de ces super-structures.

 » On considère toujours la vie extraterrestre comme étant l’ultime hypothèse à considérer, mais ça ressemble vraiment à quelque chose qu’une civilisation extraterrestre aurait pu bâtir « , écrit Jason Wright, astronome de l’Université de Penn, dans The Atlantic.

Tobaya Boyiajian, en coopération avec Jason Wright et le directeur du Centre de Recherches de l’Université de Californie, pointe désormais des paraboles et outils de détection avancés vers l’étoile. L’enregistrement des ondes radios devrait permettre de détecter une activité d’ordre technologique.  » On aura sans doute une réponse aux alentours de janvier 2016. Peut-être avant, si tout se passe bien. Si on aperçoit quelque chose de vraiment surprenant, on se concentrera dessus  » poursuit encore le scientifique.


https://www.epochtimes.fr

Exemples de sphères de Dyson :



Sphère-Dyson


The Dyson Sphere (HD remastered)   


StarTrek: Dyson Sphere Discovery   


StarTrek: Dyson Sphere Discovery & Scotty Recovery suite 


   



Le bracelet d'Asikli Höyük

Le bracelet d'Asikli Höyük : un incroyable polissage vieux de 10 000 ans


L'étude de la surface d'un bracelet néolithique découvert en Turquie a révélé que les artisans du VIIIe millénaire avant notre ère polissaient l'obsidienne avec une grande technicité.


En 1995, un fragment de bracelet en obsidienne verte polie à la main datant du VIIIe millénaire avant notre ère était mis au jour en Cappadoce dans le village néolithique d’Asikli Höyük (Aşıklı Höyük) fouillé par l’Université d’Istanbul. C'est le plus ancien bracelet en obsidienne connu à ce jour. L'archéologue Laurence Astruc, de l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul (CNRS) et le physicien Roberto Vargiolu et ses collègues du Laboratoire de tribologie et de dynamique des systèmes (CNRS, École centrale de Lyon, École nationale d'ingénieurs de St-Étienne) viennent de montrer que la maîtrise des artisans qui ont réalisé et poli ce bracelet vaut celle de l'industrie mécanique de pointe actuelle.
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Asikli Höyük est un village de paysans au tout début du Néolithique (Néolithique précéramique). Ses premières maisons en briques crues (mélange d'argile, d'eau et de débris végétaux) ont été construites par un groupe humain qui subsistait de la cueillette, mais aussi, dans une certaine mesure, de la culture de plantes domestiquées (céréales et légumes). Les habitants chassaient des espèces sauvages (notamment des chèvres), sur lesquelles ils exerçaient toutefois une forme de contrôle s'apparentant à une protodomestication. Ils utilisaient des armes et des outils dont les parties tranchantes étaient taillées dans l'obsidienne, un verre volcanique extrêmement coupant.

Plus efficace que celui des chasseurs-cueilleurs nomades, ce nouveau mode de subsistance s'est accompagné d'une complexification de la vie sociale. D’où l’apparition dès le VIIIe millénaire d’une classe d’artisans spécialisés dans la réalisation d'objets de prestige dans ce matériau fragile qu'est l'obsidienne.
C'est du moins ce que suggère le fragment de bracelet d'Asikli Höyük, qui révèle la grande habileté de ces artisans. Circulaire, d'un diamètre intérieur d'environ dix centimètres, le bracelet était enrichi d'une arête sur sa face extérieure (voir la figure ci-contre). Son créateur l'a probablement obtenu en quatre étapes successives. D'abord, un bloc contenant le volume occupé par le bracelet, soit 315 centimètres cubes, a été débité. Ensuite, la partie centrale a été évidée, peut-être par forage à l'aide d'un moyen mécanique, telle une chignole à arc. Puis la forme du bracelet a été dégagée par un piquetage prudent pour ne pas briser le matériau. Enfin, la forme obtenue a été polie, d'abord de façon grossière pour faire disparaître les traces de piquetage, puis pour obtenir une surface brillante.

Et avec quelle finesse ! Grâce à des techniques de caractérisation de la rugosité des surfaces, initialement développées pour l'industrie, les chercheurs ont montré qu'aucune aspérité ne dépasse de plus d'un dixième de micromètre. Pareil résultat ne se compare qu'à ceux des meilleurs usinages numériques actuels. La qualité du poli était sans doute appréciée à l'œil nu par ses artisans.
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Et avec quelle finesse ! Grâce à des techniques de caractérisation de la rugosité des surfaces, initialement développées pour l'industrie, les chercheurs ont montré qu'aucune aspérité ne dépasse de plus d'un dixième de micromètre. Pareil résultat ne se compare qu'à ceux des meilleurs usinages numériques actuels. La qualité du poli était sans doute appréciée à l'œil nu par ses artisans.
Plus étonnant encore, ce polissage n'a pas empêché l’artisan de maîtriser la forme du bracelet 
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avec une précision inattendue au VIIIe millénaire avant notre ère : la forme de l'arête est symétrique à un degré d'angle près… Cela suggère l'emploi d'une machine à polir, mais il n'en est rien : les orientations croisées des stries résultant du polissage à l'aide d'une série de pierres de moins en moins rugueuses prouvent que le polissage a été réalisé à la main. Les artisans disposaient sûrement de moyens sophistiqués de mesure leur permettant de vérifier au cours du façonnage la convergence vers la forme recherchée. Toutefois, en vrais artisans, ils ont aussi rectifié un défaut ponctuel, sans doute dû au piquetage.

Une telle maîtrise de l'« usinage » (par piquetage) et du polissage est stupéfiante, si l'on songe qu'elle remonte à presque 10 000 ans. Elle suggère l’existence dès le VIIIe millénaire d'une classe d'artisans spécialisés dans le façonnage d’objets de prestige en obsidienne, vouée à satisfaire les besoins d'ostentation des riches membres de la culture d'Asikli Höyük.
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Les races d'hommes d'avant le Déluge

Les races d'hommes d'avant le Déluge


Ci-contre, des crânes retrouvés dans la région de Nazca.
 
 Le Professeur Walter B.Emery (1903-1971) l’excellent archéologue qui excava beaucoup à Saqqara et au total plus de 45 ans en Egypte, trouva dans des tombes, des restes de personnes ayant vécu à des époques prédynastiques au nord de la Haute Egypte. Or les caractéristiques de ces corps et squelettes sont incroyables.

Les crânes sont d’un volume inusité, ils sont dolichocéphales c’est à dire que la boîte crânienne, vue par sa partie supérieure, est ovale, la plus grande longueur l'emportant environ d'un quart sur la plus grande largeur et parfois les sutures habituelles sont invisibles. Les squelettes sont plus grands que la moyenne de la zone et surtout l’ossature est plus large et plus lourde. Il n’hésita pas à les assimiler aux « Suivants d’Horus » et trouva que de leur vivant ils remplissaient un important rôle sacerdotal. 



Or en ce qui concerne les dolichocéphales, il semble qu’il s’agit là non pas d’une lignée d’évolution préhistorique mais bien plutôt d’une lignée provenant d’un cycle de civilisation antérieur au déluge. Or on a déjà trouvé ces crânes dolichocéphales dans plusieurs régions du monde
ainsi les Dr J Von Tschudi et Mariano E.Rivero au Pérou ont dénombré trois races pré-incas dolichocéphales: les Chinchas, les Aymaraes et les Huancaes.

Les chercheurs trouvèrent aussi que si les Chinchas avaient le crâne allongé c’est parcequ’ils bandaient les crânes de leurs enfants dans le but de ressembler aux deux autres groupes qui eux ne pratiquaient pas le bandage de crâne. On réussi à déterminer que le groupe d’origine ayant les caractéristiques les plus fortes et naturelles est celui des Chinchas. Ils auraient précédé le premier Inca Manco Capac et auraient influencé à la fois les Incas et les Mayas plus tard. Et le chercheur A.H.Verrill et Posnansky font remarquer que la plus ancienne ville Pré-Inca du Pérou est Tiahuanaco, du même âge que l’Egypte Pé-dynastique et on trouve au Tihuanaco Museum des crânes dolichocéphales de cette époque.

On affirme donc qu’il a existé une race pré-diluvienne que l’on trouve un peu partout sur le globe et qui avait le crâne conique allongé de façon naturelle comme l’affirme quelques chercheurs dont le Dr Tschudi qui le démontre car il possède un fœtus de 7 mois au crâne dolichocéphale encore dans le ventre de sa mère fossilisée de cette époque.

7000 cranes Diocephales à Malte retiré de la vue du grand public

Photo ancienne - Musée de la Valette à Malte

L'adjectif dolichocéphale signifie littéralement « qui a le crâne allongé » (du grec ancien dolikhos, « long, allongé » et kephalê, « tête »). Il est synonyme de dolichocrâne. Les noms correspondants sont « dolichocéphalie » et « dolichocrânie » et désignent le fait d'avoir le crâne allongé.

Tout ceci est loin d’être « politiquement correct »
 . Pour démonstration, le fait que l’on est retiré de la vue du public les crânes dolichocéphales du Musée de la Valette à Malte pour sans doute ne pas choquer les mentalités religieuses de certains. En effet, à Malte on a retrouvé environ 7000 crânes dolichocéphales dans les hypogées de Hal Saflieni et dans les tombes des temples mégalithiques de Taxien, Ggantja.
Là ce sont les Dr Anton Mifsud et le Dr. Charles Savona Ventura qui analysèrent les crânes et arrivèrent à la même conclusion qu’au Pérou en arrivant à discerner trois groupes différents, certains complètement « naturels » d’origine, d’autres ayant subi des bandages.

Or il y a là un lien encore plus étroit avec l’Egypte. L’ancien nom de Malta (Malte) est Melita du nom latin pour le miel Melita, or le symbole de Malte est une abeille avec ses cellules-rayons hexagonaux, n’oublions pas que le symbole de pharaon en Egypte est aussi l’abeille (« Bit ») qui lui donne une de ses titulatures, que le miel était reservé à pharaon et aux grands prêtres et que Mel (ou Mer) était un des noms attribué en Egypte aux pyramides. D’autre part le culte solaire prédominait à Malte comme en Egypte. Or la caste dolichocéphale disparut à la même époque à Malte et en Egypte.

Cette race qui apparemment était consacrée à la prêtrise et à l’enseignement et qui se mélangeait très peu ou très lentement avait partout comme point commun celle de construire des monuments mégalithiques et de former une caste dominante sacerdotale partout où elle se trouvait. Est-ce que ce peuple serait bien les restes d’une race ante-diluvienne, peut être, mais est ce que ce sont là les fameux Shemsu–Hor, pas sûr.

Nous avons donc à l’origine, ce peuple SHESH constitué de 42 tribus (dont les Anu) de différentes provenances s’étant uni et ayant eu des Ancêtres prestigieux comme Anubis, Osiris, etc...,et une mystérieuse race dolichocéphale dont on ne sait presque rien. Une chose est certaine l’Egypte a été un creuset incroyable de races mêlées et il va falloir continuer à étudier sérieusement la provenance de ces peuples. (...)

Et pour finir


Texte extrait du site : http://www.wikistrike.com/

(...) Les résultats de l'analyse de l'ADN de l'un des crânes sont maintenant de retour, et Brien Foerster, auteur de plus de dix livres et expert sur les crânes allongés d'Amérique du Sud, vient de dévoiler les résultats préliminaires de l'analyse.

La conclusion est sans appel. L'ADN mitochondrial présente des mutations inconnues sur n'importe quel homme, primate ou animaux connus à ce jour. Mais quelques fragments, séquencés de cet échantillon indiquent que si ces mutations persistent, nous avons à faire à une nouvelle créature humanoïde, très éloignée de l'Homo sapiens, les Néandertaliens et les Denisovans. (...)
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Autre lien intéressant : http://antigravity.over-blog.com/

mercredi 11 novembre 2015

info science 3



COP21 : 10 conséquences concrètes du réchauffement climatique

Du 30 novembre au 11 décembre prochain, les principaux décideurs de planète se retrouveront à Paris et tenteront de parvenir à un accord pour maintenir le réchauffement climatique à moins de 2°C. L’enjeu de la COP21 est crucial, comme le prouvent ces 10 exemples concrets.

1 -Des îles paradisiaques menacées de disparition

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2 -Miami, Tokyo, Amsterdam envahies par les eaux ?

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3 -Des records de chaleur


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4 -250 millions de réfugiés climatiques en 2050 ?

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5 -Explosion de la pauvreté d’ici à 2030

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6 -Recrudescence des maladies

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7 -Animaux : une espèce sur six pourrait disparaître  

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8 -Disparition de la Grande Barrière de Corail  


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9 -Bientôt plus de vins de Bordeaux et de la vallée du Rhône ?

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10 -Forte augmentation des turbulences en avion

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