Tout
savoir sur l'effet de serre
Quelles
sont les causes de l’effet de serre ? Pourquoi s’agit-il d’un
phénomène naturel ? Quel est le rôle de l’activité humaine dans
l’augmentation des gaz à effet de serre et quelles sont les
conséquences pour la planète ? Pour tout comprendre de l’effet de
serre, plongez dans ce dossier au cœur de l’atmosphère terrestre.
L’augmentation de l’effet de serre due à l’activité
humaine est la principale cause du réchauffement climatique.
Pourtant, l'effet de serre n’en reste pas moins un phénomène
naturel lié à l’activité de notre planète et de son atmosphère.
Depuis un peu plus d'un siècle, la température moyenne globale
de la Terre a augmenté d'environ 0,8 °C. Ce réchauffement
climatique est pas continu et, depuis une quinzaine d'années, il
semble avoir ralenti. Pourtant les scientifiques spécialistes
du climat sont quasi unanimes : il est principalement lié
à l'activité humaine favorisant l'augmentation de l'effet de serre.
Augmentation des gaz à effet de serre, absorption du
rayonnement infrarouge, convection atmosphérique ou
encore rétroaction : bien des phénomènes façonnent
notre planète et son atmosphère. Nous vous proposons de les
découvrir pas à pas.
Notre dossier revient d’abord sur l'expression « théorie de
l'effet de serre », que l'on voit parfois employée. Il
explique également d’où vient l'analogie avec la serre, ses
limitations et les conséquences qui en découlent. Ensuite, nous
insistons sur les différences entre le comportement du verre et
celui de l'atmosphère. Enfin, nous présentons la théorie du
transfert radiatif qui permet d'expliquer et de calculer l'effet de
serre mais aussi, par exemple, de réaliser des sondages de
température depuis satellite.
Quelles sont les principales
incertitudes ?
Pour certains, les aérosols notamment ceux soufrés ont compensé
le réchauffement dû à l'accroissement de gaz carboniqueIV. Le
réchauffement du XXe siècle serait alors largement dû aux autres
gaz à effet de serre : si le seul phénomène en jeu était la
combustion d'énergies fossiles avec libération de CO2 et
d'aérosols, aucun réchauffement n'aurait été constatéV. L'idée
d'injecter de grosses quantités d'aérosols dans la haute atmosphère
pour faire écran au flux solaire et contrebalancer l'effet de serre
n'en apparaît pas moins surréaliste au vu des incertitudes et de la
faible durée de vie des aérosols dans l'atmosphère quelques
semaines.
Une autre grande incertitude concerne le cycle de l'eau. En
premier lieu, un réchauffement climatique dû à un accroissement de
l'effet de serre favorise l'évaporation des surfaces marines et
continentales. La vapeur formée se re condense rapidement, mais le
résultat net est une augmentation de la teneur atmosphérique en
vapeur d'eau. Il y a ainsi une interaction forte entre le cycle du
carbone et celui de l'eau : le réchauffement induit par une
augmentation de la teneur en gaz carbonique est approximativement
doublé par l'effet sur la vapeur d'eau.
Mais qui dit augmentation de la teneur en vapeur d'eau dit
davantage de nuages. Or, ceux-ci agissent à la fois en réfléchissant
le rayonnement solaire incident - ce qui tend à refroidir le sol -
et en bloquant les infrarouges émis par la surface terrestre - ce
qui renforce le réchauffement. Les choses sont extrêmement
complexes : l'effet sur le bilan radiatif dépend même de l'altitude
et du type de nuages. Par exemple, les nuages de basse altitude
agissent essentiellement par leur pouvoir réfléchissant, alors que
ceux de haute altitude ont un pouvoir absorbant relativement plus
fort. D'après les mesures satellitaires, il semble que, globalement,
les nuages tendent à refroidir le climat.
Cet effet a dû se renforcer depuis le début de l'ère
industrielle. Notamment en raison des... aérosols, qui jouent le
rôle de noyaux de condensation pour les gouttelettes d'eau,
augmentant ainsi la réflexion du rayonnement solaire et la durée de
vie des nuages.
Deux autres exemples d'effet paradoxal : une augmentation de la
température favorise la fonte de la banquise, ce qui tend à
diminuer la fraction réfléchie du flux solaire incident ; elle
favorise aussi un accroissement de l'humidité et, du coup, une
augmentation du manteau neigeux dans les régions froides.
Ces quelques exemples illustrent l'infinie complexité des
processus en jeu et leurs multiples interactions.
Les
humains pourraient-ils être responsables des changements climatiques
sur les autres planètes du système solaire, ou le soleil en
serait-il le grand responsable ?
Ce qui suit
n'enlève en rien de la responsabilité de l'Homme sur le Climat et
l'Environnement de notre bonne vieille Terre. L'Homme reste
responsable de la pollution toujours plus contaminante dans la faune
et la flore de notre planète, et l'Homme reste également
responsable d'une partie du réchauffement climatique. Cependant, un
autre acteur est en jeu...
Voici quelques
titres de grands éditoriaux depuis quelques années :
- Spatial.com :
le réchauffement de l’atmosphère de pluton intrigue les
scientifiques
Dans ce qui
semble n’être qu’un renversement des annonces du mois d’août,
les astronomes ont révélé, aujourd'hui, que Pluton subissait un
réchauffement de son atmosphère mince, même si cette planète
s’éloignait du soleil sur son orbite longue et bizarrement formée.
- Spatial.com :
une nouvelle tempête sur Jupiter présage des changements
climatiques
Les dernières
images pourraient fournir des preuves que Jupiter est au beau milieu
de changements globaux qui pourraient modifier les températures par
plus de 10 degrés fahrenheit sur différentes parties de cette
planète.
- Current Science
& Technology Center : réchauffement global sur Mars ?
Une étude des
calottes glacières sur Mars peut démontrer que la planète rouge
éprouve une tendance au réchauffement. Si Mars et la Terre sont en
train de subir un réchauffement global, alors il y a peut-être un
plus grand phénomène qui est en train de se produire dans le
système solaire qui provoque des changements dans leurs climats
globaux.
- United Press
International : la NASA examine une tempête monstre sur Saturne
La NASA a révélé
que son vaisseau spatial Cassini a découvert une tempête
ressemblant à un ouragan au pôle sud de Saturne, d’un diamètre
de presque 5000 miles, ou l’équivalent de deux tiers du diamètre
de la Terre.
- Science Agogo:
réchauffement global détecté sur Triton
Il ne doit pas y
avoir beaucoup de pollution industrielle sur la surface de la plus
grosse lune de Neptune, néanmoins, les choses se réchauffent. « Au
moins depuis 1989, Triton a subi une période de réchauffement
climatique », confirme l'astronome James Elliot, professeur aux
Sciences terrestres, atmosphériques et planétaires de l'Institut de
technologie du Massachusetts. « Concernant le pourcentage, c'est
considéré comme une très forte augmentation ».
- Associated
Press : une étude révèle que le soleil se réchauffe
Les radiations
solaires qui atteignent la Terre sont 0,036 pour-cent plus chaude
qu’en 1986, quand l’actuel cycle solaire commençait, a rapporté
un chercheur dans une étude qui doit être publiée ce vendredi dans
un journal scientifique. La découverte est basée sur une analyse
des satellites qui mesurent la température de la lumière solaire.
London Télégraph :
la vérité sur le réchauffement global
– le soleil est à blâmer Le
réchauffement global a finalement été expliqué : la Terre se réchauffe
parce que le soleil produit plus de lumière qu’à n’importe quel moment
dans les 1000 dernières années, selon la nouvelle recherche.
La simple réalité est qu’à travers les âges, la Terre s’est balancée
allègrement entre des climats chauds, humides et stables, à des climats
froids, secs et venteux, bien avant que le premier baril de carburant
fossile ne brûle. Les changements que nous observons présentement ne
sont qu’une simple promenade dans un parc en comparaison des combats que
notre planète a pu endurer dans le passé.
Ceci n’est pas une défense pour les cartels pétroliers ou les
destructeurs néo-conservateurs, qui auraient toutes les raisons du monde
d’ignorer le réchauffement global, qu’il soit fabriqué par l’homme ou
pas.
Ce n’est pas, non plus, un démenti des faits que la terre est,
présentement et graduellement, en train de se réchauffer, mais comment
pouvons-nous réconcilier le réchauffement global qui est en train de se
produire dans les lieux les plus éloignés du système solaire avec
l’argumentation qu’il puisse être provoqué par l’activité humaine? Les
gaz d’échappements de nos voitures ont-ils réussi à quitter l’atmosphère
terrestre et à se glisser dans un trou noir jusqu’à Triton?
L’affirmation selon laquelle le réchauffement climatique puisse être
fabriqué par l’homme est tellement renforcée d’une manière oppressive
dans l’opinion populaire, surtout en Occident, que le simple fait
d’exprimer le moindre petit doute à ce sujet est semblable à démentir
l’holocauste dans certains cas. Le lavage de cerveaux, forgé par
l’intermédiaire de la télévision, les journaux et les grands cerveaux de
ce monde, est tellement insipide que les sceptiques sur le
réchauffement climatique doivent porter une étoile jaune métaphorique et
discuter de leurs doutes seulement à voix basse et dans des cadres
conciliants ou être dénoncés, harangués et injuriés par une armée de
supposés bienfaiteurs qui croient vertueusement secourir notre bonne
vieille terre en recyclant une bouteille de vin ou en mettant leurs
papiers dans une boîte à déchets séparée.
en recyclant nos produit nous éviterons des pollution comme celle ci
mais nous ne réglerons pas le réchauffement qui est global
----
Répandant la peur au sujet d’une fin du monde imminente provoquée par
le climat pour aussi s’accaparer les couvertures de nouvelles et les
problèmes écologiques importants comme la GM food, la chimère maladive
du clonage scientifique et l’usurpation ainsi que les abus des sociétés
commerciales comme Monsanto passent inaperçus.
Le réchauffement global est mentionné comme une excuse pour mettre en
place un contrôle accru sur les populations et une surveillance sur nos
vies quotidiennes, ainsi que les « micropuces » RFID sur nos poubelles,
le dépistage par GPS, la taxation au mile, de même qu’un impôt global à
la station service.
L’aile extrémiste du mouvement écologiste, caractérisé par des gens
comme certain scientifique avocat d’une réforme massive de l’humanité via
des harcèlements et du bioterrorisme sanctionné par les États, afin de «
sauver » la terre de la maladie de l’humanité, est semblable aux
mesures de contrôle des populations et de génocides des Nazis ;
l’establishment écologique a toujours maintenu une proche alliance avec
ce genre d’extrémistes.
La religion organisée du réchauffement global et ses conséquences
désastreuses pour notre liberté de parole, notre liberté de mouvement et
notre droit de demeurer à l’extérieur du système, doivent être
questionnés sur la base fondamentale que le phénomène est dans tout le
système solaire et qu’il est principalement provoqué par l’évolution
naturelle du soleil et non par les activités humaines.
----